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111. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre VIII. » pp. 65-96

Le cœur et l’esprit ne sont jamais la dupe de ce spectacle ; il est rare, pour ne pas dire impossible, que l’on sorte de l’opéra avec ce trouble, cette émotion et ce désordre enchanteur que l’on éprouve à une tragédie ou à une comédie touchante.

112. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE VIII. » pp. 129-194

Le cœur & l’esprit ne sont jamais la dupe de ce Spectacle ; il est rare, pour ne pas dire impossible, que l’on sorte de l’Opéra avec ce trouble, cette émotion & ce désordre enchanteur que l’on éprouve à une Tragédie ou à une Comédie comme Cénie ; la situation où elles nous jettent, nous suivroit long-temps, si les images gaies de nos petites Pieces ne calmoient notre sensibilité & n’essuyoient nos larmes.

113. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413

Il y avait là, outre le baron de Münch-Bellinghausen, connu en littérature sous le pseudonyme de Friedrich Halm, et qui était en quelque sorte de la maison, le ministre Schmerling, Bauernfeld, l’auteur de tant de spirituelles comédies, le compositeur Dessauer, Edouard Hanslick, le critique musical, Caroline Bettelheim, Frédérique Fischer et Fanny Elssler.

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