Les « vendredis de danse » ont pris ce pli dangereux de nous offrir, pour nous désennuyer pendant que la danseuse change de costume, le tour du chant.
Cette correction humiliante ne changea pas son caractère ; il continua d’être vain, bas, et insolent. […] Auguste ne changea rien à sa décision ; sa sévérité satisflit tous les partis, dissipa la tempête, et rétablit le calme, et la tranquillité. […] Le retour de Pylade changea tous les esprits, dissipa les complots ; les grands, et le peuple chantèrent la bienfaisance, la justice, et les vertus d’Auguste ; dans cet excès d’enthousiasme ils acceptèrent avec joye les loix sages, que leur délire leur avoit fait regetter.
Il y en a une troisième, qu’on imagina en 1675 qui tenait aussi du grand Ballet, et qui, en allongeant la Mascarade déjà connue, ne fit autre chose que d’en changer l’objet principal en substituant maladroitement le Chant à la Danse.