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182. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96

Des courriers arrivaient de Vienne, bride abattue ; Metternich envoyait des estafettes de tous côtés ; il fallait donner le mot d’ordre aux ambassades ; il fallait empêcher les journaux de faire connaître les événements de Paris, il fallait réprimer tout mouvement libéral en Autriche et en Allemagne. […] Des deux côtés elle encourage et favorise cette liaison, du côté de Fanny en lui parlant de Gentz en amie dévouée, du côté de Gentz en exaltant les qualités de sa bien-aimée. […] Celle-ci, de son côté, pouvait être flattée d’être distinguée par l’un des personnages les plus considérables de l’époque.

183. (1845) Notice sur Ondine pp. 3-22

Toute joyeuse et triomphante de son stratagème, elle s’élance de la barque sur le rivage, et voit bondir à côté d’elle l’ombre légère de son corps mortel, apparition qui la fait fuir, pleine de terreur et de surprise.

184. (1921) Le Ballet de l’Opéra pp. 191-205

Un soir la petite ne reparut pas ; la mère pleure, le père reste stoïque, impassible, endosse son ancien uniforme, et, l’épée au côté, sort, le visage sombre, l’allure d’un héros de tragédie.

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