Il est indubitable que la beauté des Dames a seruy de subiect aux enuieux, pour blasmer cest exercice : Car disent ils, si les perfections d’vn beau visage armé desia de mil mignardises & d’appas sont anoblies des graces de la danse, y aura il des yeux assez chastes pour soustenir l’esclat de tant de traits & d’atraits sans alarmes.
Je leur accorde avec plaisir ce qui nous manque, et ce que nous posséderons lorsqu’il plaira aux danseurs de secouer des règles qui s’opposent à la beauté, et à l’esprit de leur art.
Le 2 décembre 1859, un banquet, donné en son honneur, aux Frères Provençaux, réunissait : Rosati, l’âme de la danse, La grâce unie à la beauté ; Cerrito qui dota la France D’un talent partout regretté ; Zina, Plunkett, autres étoiles De cet éther éblouissant Où, plus légère que ses voiles, Livry s’élançait, bondissant ! […] Il y a là beauté, jeunesse, talent, — admirable trinité. » *** Perrot triomphait : moins cependant qu’il ne l’avait espéré.