Les sujets fabuleux sont pris de la fable, comme le jugement de Paris, les noces de Thétis et Pelée, la naissance de Vénus, etc. […] De ce nombre étaient les ballets des cris de Paris, de la foire Saint-Germain, des passe-temps, du carnaval, etc. […] Ce fut en 1671, qu’on représenta à Paris les Fêtes de Bacchus et de l’Amour, cette nouveauté plût ; et en 1681, le Roi et toute sa cour exécutèrent à Saint-Germain le Triomphe de l’Amour, fait par Quinault, et mis en musique par Lully : de ce moment il ne fut plus question du grand ballet, dont on vient de parler. […] Ils étaient composés pour l’ordinaire de quatre entrées, d’un récit, et d’une entrée générale ; c’était le grand ballet en raccourci : Idée des spectacles anciens et nouveaux de l’abbé de Pure, imprimé à Paris en 1667.
Il arriva pour lors à Rome, ce qui arriverait à Paris dans un cas semblable.
Ce fut en 1671 qu’on représenta à Paris les Fêtes de Bacchus et de l’Amour 137.