/ 118
116. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96

Le lundi de Pâques 1831, Gentz copie une strophe du Buch der Lieder et l’envoie à Fanny en y ajoutant quatre vers de sa façon : « Je t’ai aimée et je t’aime encore, et si le monde s’écroulait, de ses débris s’élèveraient les flammes de mon amour.

117. (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Méthode ou Principes élémentaires sur L’art de la danse pour la ville. » pp. 11-92

Presque toutes les formations des pas se réduisent aux actions suivantes : le plié (inflexion des genoux) ; le glissé (action de mouvoir le pied à terre sans la quitter) ; l’élevé (extension des genoux pliés) ; le sauté (action de s’élever en l’air) ; le tourné (action de mouvoir le corps d’un côté ou d’un autre) ; et enfin le retombé (chute du corps forcé par son propre poids).

118. (1806) L’Art de la danse, poëme en quatre chants, calqué sur l’Art poétique de Boileau pp. -247

Cet art, que les bigots ont taxé d’infamie11, S’éleva tout-à-coup au rang d’Académie12 ; Et même on reconnut, au sein du parlement, La Danse théatrale, un noble amusement13.

/ 118