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124. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IX. le voyag e en amérique  » pp. 320-364

Il faudrait une voix de Niagara pour prêcher à ces gredins qu’il existe encore des dieux plus élevés que ceux dont on frappe l’effigie à l’Hôtel de la Monnaie. » Lenau écrivait encore : « L’éducation des Américains est purement mercantile, technique.

125. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la musique moderne »

commencèrent par faire des chansons : c’étaient des chansons que chantait Eriphanis en suivant les traces du chasseur Ménalque : c’était une chanson que les femmes de Grèce chantaient aussi pour rappeler les malheurs de la jeune Calycé, qui mourut d’amour pour l’insensible Evaltus : Thespis barbouillé de lie, et monté sur des tréteaux, célébrait la vendange, Silène et Bacchus, par des chansons à boire : toutes les odes d’Anacréon ne sont que des chansons : celles de Pindare en sont encore dans un style plus élevé ; le premier est presque toujours sublime par les images ; le second ne l’est guère souvent que par l’expression : les poésies de Sapho n’étaient que des chansons vives et passionnées ; le feu de l’amour qui la consumait, animait son style et ses vers.

126. (1841) Physiologie de la lorette pp. -127

Si la Lorette écrit d’un sol élevé de deux millimètres au-dessus du niveau de la mer, elle date sa lettre : Du haut des Alpes… ce… Sur deux mille épîtres sentimentales, la Lorette en commence dix-neuf cent soixante-sept par ces mots : Minuit sonne… A ce sujet, voici ce qui arriva à une Lorette très-connue dans Paris.

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