Puis, recueillie, immobile, vous prêtiez l’oreille et l’âme à l’incantation musicale ; vous l’absorbiez comme un fluide, en quête d’un mobile psychologique, d’une inspiration sentimentale, d’un choc nerveux.
« On dirait parfois une âme qui danse sous une forme sensible », écrivait, de la danseuse, Jules Lemaître.
Des Corsaires arrivent et jettent, par leur approche imprévue, l’épouvante dans l’âme des jeunes Athéniennes.