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268. (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Paralele. DE. LA PEINTURE. ET DE. LA POESIE. » pp. 213-269

Quand à force d’éxercice & de réfléxions, la Peinture & la Poésie se furent enfin montrées dans leur plus grand lustre, des hommes d’un génie extraordinaire donnerent au Public des ouvrages & des régles en l’un & l’autre genre, pour servir de guides à la postérité, & donner une idée de leur perfection : cependant ces Arts ont été malheureusement négligez depuis la décadence de l’Empire Romain jusque à ces derniers siécles, que Corege, Michel-Ange, Léonard Vinci, Raphael, le Titien, Paul Veronese & Rubens ont paru pour la Peinture ; comme Pétrarque, Dante, le Tasse, Pindare, Marote, Corneille, Moliere, Racine, Boileau, l’Abbé Genest, la Fontaine, la Mothe & Rousseau ont excellé dans la Poésie ; que poussez d’un même esprit, ils ont fait tous leurs efforts pour ressusciter ces deux arts, & les porter à leur premiere perfection : & l’on peut même dire que la Piéce de Théâtre d’Inès de Castro de M. de la Mothe, a couronné ses œuvres, & peut l’emporter sur les plus beaux ouvrages de Raphael & du Titien. […] Il paroît qu’Aristote même ne fait aucune difficulté d’accorder le raisonnement à la Peinture, quand il dit que cet art instruit, & qu’il donne matiere à raisonner, non seulement aux Philosophes, mais à tous les hommes. Quintilien avoue que la Peinture pénétre si avant dans notre esprit, & qu’elle remue si vivement nos passions, qu’il paroît qu’elle a plus de force que tous les discours du monde. […] J’ajoûterai encore que si les Poëtes se vantent d’avoir Apollon pour l’inventeur de la Poésie, les Peintres peuvent s’attribuer aussi le Dieu Vulcain pour l’inventeur du dessein, si l’on en juge par les bas reliefs qu’il a faits sur les boucliers de Mars, de Pallas, d’Achille & d’Enée, & par les figures qui sont au-dessus de leurs casques, sans parler des deux Automates d’or qu’il forgea pour lui servir de servantes, au dire d’Homere ; ce qui prouve que Vulcain étoit aussi bon Statuaire que habile Dessinateur, & peuvent servir d’autorité pour lui faire mériter la qualité de l’inventeur du Dessein, aussi bien que celui de la Forge ; joint que tout ce qu’on en peut dire touchant son origine, paroît toujours fabuleux, faute de preuves plus certaines à cause de son antiquité.

269. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre III. l’opéra de paris sous la direction véron  » pp. 97-128

Pour monter cet ouvrage, Véron avait dépensé 150 000 francs, somme qui paraissait fantastique alors. […] Le grand nombre de cavaliers qui parurent dans cette pièce fit dire à un plaisant : « Ici on chante à pied et à cheval. » A vrai dire, c’étaient des spectacles de cirque. […] La réclame faite par Charles Maurice à Véron nous paraît d’un charlatanisme candide.

270. (1845) Notice sur Ondine pp. 3-22

À mesure qu’elle dansait, cette impression devint moins vive ; elle parut même prendre grand plaisir à rester près de lui. […] Malgré ses efforts et ceux d’un vieux batelier du rivage, qui essayait de le détourner, il se hasarda, et pénétra au fond des eaux. — « Si les choses vont bien, dit-elle au batelier, vous verrez paraître à la surface du lac une assiette de bois avec une belle pomme de mon jardin. » — Quarante-huit heures s’écoulèrent ; le batelier, resté sur la rive, vit jaillir un filet de sang de la nappe d’eau, preuve évidente que l’audacieux n’avait pas été épargné par la vengeance des Ondins.

271. (1921) Théophile Gautier et le ballet romantique pp. 149-162

« Mademoiselle Elssler », continue-t-il dans son éloge, « a des bras ronds, bien tournés, ne laissant pas percer les os du coude et n’ayant rien de la misère de formes des bras de ses compagnes… « … Quant au caractère de la tête, nous avouons qu’il ne nous paraît pas aussi gracieux qu’on le dit. […] Et cette même indécision se remarque dans le caractère du sexe : ses hanches sont peu développées, sa poitrine ne va pas au-delà des rondeurs de l’hermaphrodite antique ; comme elle est une très charmante femme, elle serait le plus charmant garçon du monde. » Sur quelques avis savants sur la coiffure et le sourire s’achève ce portrait qui nous paraît un document iconographique aussi peu négligeable que les lithographies de Grèvedon ou de Jentsen.

272. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre V. » pp. 37-55

Ils y parurent en foule ; on vit éclore de nouveaux chefs-d’oeuvre ; les récompenses et les distinctions excitèrent l’émulation des hommes de génie, enfin ils firent pour Florence ce que leurs prédécesseurs avoient fait jadis pour Athènes, et pour Rome. […] Ce fut dans ce spectacle magnifique que l’on vit paraître pour la première fois le beau sèxe dans les ballets.

273. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre III. Objections tirées des Docteurs de l’Eglise. » pp. 167-174

Et si l’on convient que le conseil de ce saint n’est ni pratiqué, ni même praticable, ce qu’il paroît dire de favorable aux danses ne tombe-t-il pas de lui-même ?

274. (1908) L’École de danse de Grünewald « L’école de danse du Grünewald » pp. 261-268

Je savais désormais, par elle, qu’un bras levé, que des jambes remuant des plis de tunique, au rythme d’une belle musique, qu’une main se tendant vers une fleur invisible, qu’un cou incliné, peuvent vous paraître aussi beaux, vous émouvoir aussi profondément que la plus noble symphonie.

275. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Avant-propos. » pp. -

Il m’a toujours paru que dans la pantomime l’effet est plus général et plus uniforme, et, si jose le dire, plus en harmonie avec l’ensemble des sensations que le spectacle produit.

276. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VII. » pp. 72-80

Je trouvai dans l’immense bibliolhèque de Garrick tous les ouvrages anciens qui traitent de cet art ; j’appris à la danse muette ; à articuler ; à exprimer les passions et les affections de l’âme ; mes soins et mes succès la placèrent au rang des arts imitateurs ; mais après cinquante années d’études, de recherches, et de travaux ; je me suis apperçu que je n’avois fait que quelques pas dans la carrière, et que je m’étois arrêté là, où les obstacles me parurent insurmontables.

277. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre IX. » pp. 88-96

Ce Prince ayant mandé au palais les grands de sa cour, et les personnes les plus distinguées de l’état, parut en dansant dans sa salle d’audience, vêtu a la grecque, en robe longue, et au son des instrumens ; il fit devant cette assemblée tous les gestes d’un monologue, et se retira sans avoir proféré une seule parole.

278. (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre premier. De la Danse en général, suivant l’opinion des Anciens. » pp. 1-32

Il y avoit une autre danse attribuée à Venus, où il paroît qu’elle disoit, Avancez le pied, mes enfans, & trépignez à qui mieux mieux ; comme si Venus eût voulu donner à la jeunesse des preceptes de ce bel Art. […] Celle du premier jour de Mai fut ensuite célébrée par toute l’Italie : la jeunesse de l’un & de l’autre sexe sortoit des villes en dansant au son des instrumens, pour aller chercher des rameaux verds ; ils les posoient devant les portes de leurs parens & de leurs amis, qui les attendoient avec des tables garnies dans toutes les rues, qui étoient illuminées le soir, où l’on dansoit des danses publiques ; desorte que ce jour-là il n’étoit pas permis, sur peine d’amende, aux gens de quelque âge & de quelque qualité qu’ils fussent, de paroître sans avoir quelque fleur ou quelque branche de verdure sur soi.

279. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre XIV. » pp. 197-215

L’Amour paroît seul ; d’un geste et d’un regard il anime la nature. […] Ces transitions soudaines, ces mouvemens divers, cette alternative continuelle de tendresse et d’indifférence, de douleur et de plaisir, de sensibilité et de froideur, ont été le sujet d’une foule de tableaux qui tous ont paru également intéressans et d’un goût véritablement neuf.

280. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre IX » pp. 120-137

Tout le monde, il paraît… Rose.

281. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre premier. Justes idées sur les Danses contre lesquelles on écrit. » pp. 2-10

Si en chantant on n’articule aucune parole, les airs qui se jouent sur les instrumens rappellent souvent à l’esprit des chansons très-mauvaises qu’on a eu le malheur d’apprendre, et qu’on n’a pas oubliées ; et, supposé que, dans ce temps même de la danse, ni les chansons, ni le son des instrumens et des airs qu’on y joue, n’aient pas fait d’impression, peut-on nier que cela n’ait jeté dans le cœur une mauvaise semence qui, étant demeurée cachée pendant un temps, y germe, paroît au moment qu’on s’y attend le moins, et produit enfin des fruits de mort ?

282. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La Rosière de Salency. Ballet pastoral. » pp. 191-203

Le Bailli paroît avec les habitans de Salency, et ceux du village voisin.

283. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413

Fanny parut en mars 1843 sur la scène de Covent-Garden, mais, quoique le public lui témoignât la même faveur qu’autrefois, elle ne put sauver le malheureux théâtre. […] Quelquefois ces danses terribles paraissaient un chuchotement mystérieux de la mort. […] Lorsque, le premier soir, Fanny Elssler parut dans Giselle, le public garda un silence plein de menaces. […] Nul artiste, parmi les aimés, n’a été, n’importe où et quand, honoré par rien de semblable. » Dans l’intervalle de ses voyages en Russie, en 1849 et en 1850, Fanny Elssler parut à Hambourg.

284. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre IX. » pp. 97-129

Je vois dans les tableaux les plus précieux des Tritons dont les physionomies ne sont point vertes ; j’apperçois des Faunes et des Satyres d’un teint rougeâtre et basané, mais un brun sombre n’est pas répandu également sur tous les traits ; je cherche des physionomies couleur de feu et argent, mais inutilement ; les Démons ont un teint rougeâtre qui emprûnte sa couleur de l’élément qu’ils habitent ; je sens la nature, et je la vois partout ; elle ne se perd point sous l’épaisseur de la couleur, et sous la pésanteur de la grosse brosse ; je distingue la forme de tous les traits ; je les trouve, si vous voulez, hideux, chargés ; tout me paroît outré ; mais tout me montre l’homme, non comme il est, mais comme il peut-être sans choquer la vraisemblance. […] Pauvres, riches, tout le monde y étoit admis : il falloit donc de vastes enceintes pour contenir un nombre infini de spectateurs qui n’auroient point trouvé le plaisir qu’ils venoient chercher, si l’on n’eût eu recours à des masques énormes, à un ventre, à des mollets postiches et à des cothurnes fort exhaussés Mais aujourd’hui que nos salles sont resserrées, qu’elles ont peu d’étendue, que la porte est fermée à quiconque ne paye pas, on n’a pas besoin de suppléer aux gradations du lointain : L’acteur et le danseur doivent paroître sur la scène dans leurs proportions naturelles ; le masque leur devient étranger, il ne fait que cacher les mouvemens de leur âme ; il est un obstacle aux progrès et à la perfection de leur art. […] A peu près, dans le même temps parut Cratés, à l’exemple d’Epicharmus et de Phormis, poëtes Siciliens ; il donna à la comédie un théatre plus décent et dans un ordre plus régulier.

285. (1921) Salvatore Viganò pp. 167-190

En 1790, Viganò regagna l’Italie et fit paraître aux yeux des Vénitiens, sur la scène du San Samuele dont son père était l’impresario, toutes les grâces de la technique française. […] À ce moment paraît Décius, accompagné de Murena. » Il serait fastidieux de suivre Ritorni dans sa minutieuse description du jeu des deux acteurs en cette scène de séduction qui mettait Stendhal dans un état difficile à décrire20. […] Le troisième acte parut long.

286. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175

Ce fut, je crois, la dernière fois que la reine parut à l’Opéra. […] L’idée de paraître à l’Opéra et de changer leur genre de vie germanique contre les habitudes parisiennes effrayait légèrement les fillettes, — Thérèse surtout, — l’ainée, — qui s’était érigée en petite maman… Pour les décider et leur donner un échantillon de la société, de la galanterie et des magnificences françaises, M. […] Lorsqu’elle paraît avec son sourire d’enfant, son œil étonné et ravi, ses poses d’oiseau qui cherche à prendre terre et que ses ailes emportent comme malgré lui, des bravos unanimes éclatent dans tous les coins de la salle.

287. (1921) Quelques lettres inédites de célébrités chorégraphiques pp. 222-226

Elle s’est fait le plus grand tort en se séparant de son mari qui, à ce qu’il paraît, s’était très bien conduit pour elle ; cela rend le public froid et tout le succès retombe sur la Persiani.

288. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XV. » pp. 150-159

Gluck, Piccini, Sacchini parurent ensuite, et ces beaux génies, lorsqu’ils composèrent pour la danse, se conformèrent aux moyens des danseurs ; ils ne firent pour eux ni concertos, ni sonnates, ni symphonies.

289. (1852) Tableau de Paris. Chapitre XII « [Chapitre XII. Extrait] » pp. 104-108

fait le succès ou la chute des débutantes ; il faut, si elle veut réussir et voir tomber à ses pieds es couronnes, que toute néophyte de la danse ou du chant jette préalablement le mouchoir à celui-ci ou à celui là, parmi les souverains dispensateurs des fleurs et des épines ; alors la route s’aplanira d’elle-même, alors la nouvelle arrivée, pour peu qu’elle soit jeune et belle, n’aura qu’à paraître sur la scène, et elle entendra résonner à son oreille le concert des brava.

290. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE XII. » pp. 315-361

Lany jouissent de ce tact précieux & de cette précision exacte qui prêtent à la Danse un esprit, une vivacité & une gaieté que l’on ne rencontre point chez les Danseurs qui ont moins de sensibilité & de finesse dans cet organe ; il est cependant constant que la maniere de prendre les temps, en contribuant à la vîtesse ajoute en quelque sorte à la délicatesse de l’oreille, je veux dire que tel Danseur peut avoir un très-beau tact & ne le pas rendre sensible aux Spectateurs, s’il ne possede l’art de se servir avec aisance des ressorts qui font mouvoir le coudepied ; la mal-adresse s’oppose donc à la justesse, & tel pas qui auroit été saillant & qui auroit produit l’effet le plus séducteur, s’il eût été pris avec promptitude & à l’extrêmité de la mesure, paroît froid & inanimé, si toutes les parties opérent à la fois. […] Les Etrangers accoutumés à entendre des Orchestres bien plus nombreuses que les nôtres, bien plus variées en instruments & infiniment plus riches en Musique savante & difficultueuse, ne peuvent s’accoutumer à ce bâton, sceptre de l’ignorance qui fut inventé pour conduire des talents naissants ; ce hochet de la Musique au berceau, paroît inutile dans l’adolescence de cet Art.

291. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre V. Établissement de l’Opéra Français »

Mais Homère et Virgile, Sophocle et Euripide parurent à Quinault des autorités suffisantes en faveur du genre qu’il projetait de mettre sur la Scène.

292. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre IX. Circonstances qui contribuent à rendre les Danses plus dangereuses et plus criminelles. » pp. 102-114

Parmi les sermons de saint Ambroise, on en trouve un de saint Césaire, archevêque d’Arles, où il répète trois ou quatre fois, que celui qui chasse pendant le carême, horum quadraginta dierum curriculo , ne jeûne pas ; encore, poursuit-il, qu’il pousse son jeûne jusqu’au soir, selon la coutume constante de ce temps-là, il pourroit bien paroître avoir mangé plus tard, mais cependant il n’aura pas jeûné au Seigneur : Potes videri tardiùs te refecisse, non tamen Domino jejunâsse.

293. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVI. » pp. 160-172

Il n’avoit pu rassembler qu’un petit nombre de chanteurs dans la ville ; il eût recours à ceux de la cathédrale ; mais ils ne pouvoient agir ni paraître sur le théâtre.

294. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XIX. » pp. 201-212

Je vais vous parler de celle dont les effets m’ont parus d’autant plus frappans, qu’il m’a été impossible d’en deviner les causes.

295. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XVII, quelques philosophes » pp. 188-

Et ceux-là m’ont paru singulièrement plus émouvants que les plus fiers souverains et que les foules les plus impressionnantes.

296. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre XII. Ceux qui ont quelque autorité doivent, autant qu’ils le peuvent, s’opposer aux Danses, et empêcher d’y aller ceux et celles qui dépendent d’eux. » pp. 132-147

« Saint Eloy, dit ce célèbre auteur, n’avoit de rigueur que pour lui-même, il étoit plein de tendresse pour les autres ; mais sa douceur étoit toujours accompagnée de beaucoup de fermeté ; et souvent lorsqu’il paroissoit le plus indulgent, c’étoit alors qu’il faisoit paroître sa rigueur épiscopale… Un jour de saint Pierre, prêchant dans une paroisse proche de Noyon, il parla fortement contre les danses et les autres jeux qui tenoient encore du paganisme, où les bonnes mœurs étoient fort en danger.

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