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74. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Renaud et Armide. Ballet héroïque » pp. 99-108

La décoration représente les magnifiques jardins du palais d’Armide.

75. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Adèle de Ponthieu. Ballet tragi-héroïque, en quatre actes. » pp. 109-120

Si les jeux institués dans la Grèce firent germer l’amour de la gloire et de la patrie ; si l’espérance d’un triomphe passager fit éclore tant de grands hommes, et donna tant de défenseurs à la république Romaine ; quels effets ne dut pas produire sur une noblesse guerrière, le spectacle magnifique des Tournois ?

76. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Pyrrhus et Polixène. Ballet tragique. » pp. 205-214

Le fond du théâtre représente le magnifique portique du temple d’Apollon ; les deux côtés offrent les campagnes de Sigée.

77. (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Préface. » pp. -

Le goût qu’il avoit pour la Danse l’engageoit dans les momens paisibles de son Regne, à donner de ces Ballets magnifiques, où ce Souverain ne dedaignoit pas de paroître lui-même avec les Princes & les Seigneurs de son Roïaume.

78. (1845) Notice sur Ondine pp. 3-22

Enfin nos deux voyageurs arrivèrent à de magnifiques palais d’une architecture originale, divisés en une infinité de chambres et d’appartements au fond desquels ils trouvèrent une petite chambrette ; “il y avait, dit le conte, beaucoup de pots tout neufs, le fond en l’air et l’ouverture en bas”. — Qu’y a-t-il donc dans ces pots ? […] Sa tournure était modeste, son maintien décent, sa grâce pudique ; elle avait de grands yeux noirs magnifiques : seulement on s’apercevait avec surprise que les cils des paupières étaient d’un bleu vert et très-longs.

79. (1908) L’École de danse de Grünewald « L’école de danse du Grünewald » pp. 261-268

Un jour ou l’autre, il faudra bien que l’État prussien apprenne l’existence de cette école d’esthétique sans pareille au monde, et l’agglomère à son magnifique Conservatoire de Berlin.

80. (1775) La littérature renversée, ou l’art de faire des pièces de théâtre sans paroles [graphies originales] « Les ressources, ou le tableau du monde, pantomime.  » pp. 15-16

Le Théâtre représente un Palais magnifique.

81. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VII. » pp. 72-80

J’eûs beaucoup de peine à retrouver l’éscalier de ces catacombes ; je me heurtois fortement la tête et les jambes ; mais je parvins enfin à sortir de ce lieu triste et ténébreux ; je traversai péniblement l’ancienne Rome ; j’étois entouré de décombres ; mais au milieu d’eux, je voyois encore de magnifiques colonnes, de superbes portiques, et de belles statues échappés à la main destructive des barbares, et. que le tems avoit respectés.

82. (1921) Salvatore Viganò pp. 167-190

Le ballet de Viganò est salué par les contemporains comme le point de départ d’un art magnifique et entièrement nouveau. […] Une magnifique gravure du scénographe Sanquirico nous en a laissé un vivant témoignage11. […] C’est magnifique et surtout singulier, mais ne peut pas se comprendre à Paris.

83. (1765) Dissertation sur les Ballets Pantomimes des Anciens, pour servir de programme au Ballet Pantomime Tragique de Sémiramis « [Seconde partie] »

En s’écartant de ces règles, on pourra donner, je l’avoue, de grands, de magnifiques Spectacles ; mais c’est justement alors qu’on tombera dans le défaut dont parle Horace2 au commencement de l’Art poétique. « Vous vous amusez (dit-il) à nous décrire le Rhin, l’Arc en ciel, un Autel de Diane, un Bois sacré, ou les détours d’un ruisseau qui s’échappe avec un doux murmure au travers d’une Campagne délicieuse.

84. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VI, lumière et danse » pp. 60-71

Les hautes colonnes, dont les fûts composés de frêles colonnettes assemblées, s’élancent jusqu’aux voussures ; les proportions admirables de la nef ; le chœur, ses stalles de vieux chêne sculpté et ses grilles en fer forgé, tout cet ensemble harmonieux et magnifique m’émut profondément.

85. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre II » pp. 10-20

Tous ces hommes célèbres, en étonnant leurs siècles reçurent les tributs d’admiration et de respect, qu’ils avoient mérités : la plupart obtinrent des distinctions flatteuses, et des récompenses magnifiques, qui outre les avantages d’une grande fortune, les mirent en état de se procurer une retraite sûre et honorable.

86. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Danaïdes, ou. Hypermnestre. Ballet tragique. en cinq actes. » pp. 183-195

La décoration représente une magnifique gallerie qui aboutit à la chambre nuptiale.

87. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la danse ancienne »

Celle que les prêtres d’Egypte inventèrent pour exprimer les mouvements divers des astres, fut la plus magnifique des Egyptiens. […] L’idée en effet en était aussi grande que magnifique : elle suppose une foule d’idées précédentes qui font honneur à la sagacité de l’esprit humain.

88. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre troisième — Chapitre V. Établissement de l’Opéra Français »

Ici on s’arrêtera sans doute pour chercher la cause secrète du peu d’effet qui résulte cependant de nos jours d’un plan si magnifique.

89. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre X. En convenant que les Danses doivent ordinairement être évitées, ne peut-on pas les permettre du moins aux jours de noces, où elles sont d’usage partout ? » pp. 115-125

Est-ce pour les faire plus magnifiques ?

90. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVI. » pp. 160-172

Au commencement de celte année il m écrivit ; il m’annonça qu’il venoit de remettre pour l’inauguration d’un nouveau et magnifique théatre, mon ballet de Médée ; qu’il en avoit dédié Je programme à Alexandre premier ; que cette production avoit plu à Sa Majesté Impériale.

91. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XX et dernière. » pp. 213-241

Il n’avoit pas plutôt jetté ses regards sur cette glace fidèle, qu’il étoit honteux de ses erreurs ; il n’hésitoit plus ; il jettoit loin de lui son turban, son armure, son bouclier et ses armes, et se précipitoit ensuite dans les bras de la vérité ; toutes les vertus qui font la gloire des Princes l’environnoient ; Bradamante an comble de la joye voloit vers lui ; les chevaliers et les dames se réunissoient à l’entour des deux époux et des vertus ; ceci lormoit progressivement un groupe général varié de positions ; il offroit le tableau intéressant du bonheur ; les deux amans ensuite étoient unis par les vertus ; les daines présentoient à Roger un casque riche ombragé d’un panache blanc ; les chevaliers lui attachoient une magnifique cuirasse. […] Je leur dirai que cette noblesse n’existe plus, même à l’opéra Berceau de son origine, depuis que se spectacle pompeux a emprunté les petits chevaux d’osier de Dom Japhet d’Arménie, depuis qu’on y a introduit des niais dégoûtants dont les plates maiseries révoltent le public et qui ne feroient pas sourire les spectateurs des petits théâtres des Boulvards ; depuis enfin que l’on a mis sur cette magnifique scène où les arts imitateurs s’empressent à déployer leurs trésors, des ballets dont les sujets sont indécents.

92. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — VIII, sarah bernhardt. — le rêve et la réalité » pp. 82-97

Elle regardait, — tour à tour intéressée, passionnée, émue, — cette foule frémissante qui jouait, magnifique et sincère, un rôle d’indescriptible enthousiasme.

93. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre XII. Ceux qui ont quelque autorité doivent, autant qu’ils le peuvent, s’opposer aux Danses, et empêcher d’y aller ceux et celles qui dépendent d’eux. » pp. 132-147

pour l’engager à ne pas borner l’usage de son autorité au bien temporel des peuples, mais à l’étendre encore à leur bien spirituel : « Si toute la prudence par laquelle vous tâchez de maintenir les choses dans l’ordre, et de faire du bien aux hommes, si toute la force qui vous fait soutenir, sans vous étonner, tout ce que la malice des hommes peut entreprendre contre vous ; si toute la tempérance qui vous fait résister au torrent de la corruption, si toute la justice qui reluit dans l’intégrité de vos jugemens, qui vous fait rendre à chacun ce qui lui appartient ; si tout cela, dis-je, ne tend qu’à garantir ceux à qui vous prétendez faire du bien, de ce qui pourroit menacer leurs corps et leur vie, à assurer leur repos contre les entreprises des méchans, à faire que leurs enfans croissent comme de jeunes plantes, que leurs filles soient parées comme un temple magnifique, que leurs celliers regorgent l’un dans l’autre, que leurs brebis soient fécondes, que leurs bœufs soient gras, que nulle ruine ne défigure leurs héritages, qu’on n’entende point de clameurs publiques, qu’il n’y ait parmi eux ni querelle ni procès ; vos vertus ne sont pas plus de véritables vertus, que le bonheur de ceux pour qui vous travaillerez ne sera un véritable bonheur.

94. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175

L’Héberlé représentait Terpsychore, — l’Héberlé, une magnifique et plantureuse créature dont les charmes faisaient honneur aux pâturages d’outre-Rhin. […] Une paire d’alezans magnifiques !

95. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XIV. » pp. 134-149

Elles sont autant de points mobiles que la nature à ménagés dans la magnifique charpente du corps humain, pour l’obliger d’obéir aux volontés de l’âme, avec autant de célérité que de facilité.

96. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « X, les étoiles d’aujourd’hui. » pp. 204-

Brune et belle, le visage éclairé de deux magnifiques yeux noirs tout pleins d’étincelles, montrant aux regards une poitrine superbe ; nerveuse, vaillante, infatigable, passionnée pour son art, et, avec cela, toujours le sourire aux lèvres : voilà par quels charmes elle gagne, dès qu’elle paraît, la sympathie du parterre.

97. (1834) L’Opéra. Paris ou Le Livre des Cent-et-un. tome XV « L’Opéra. » pp. 366-428

Fidèles aux définitions anciennes, nous appellerons opéra « une pièce de théâtre en vers, mise en musique et en chants, accompagnée de danses, de machines et de décorations. » Nos pères aimaient à dire que c’était là un spectacle universel, où chacun trouvait à s’amuser dans le genre qui lui convenait davantage : mais eux aussi formèrent le vœu que le poème répondit à tous les agrémens dont l’opéra est composé ; ils prétendaient qu’ils n’hésiteraient pas alors à le regarder comme le plus beau et le plus magnifique de tous les spectacles qu’a imaginés et qu’imaginera l’esprit humain. […] Plus de cent soixante ans après, en 1682, Bullart affirmait encore que l’Italie ne vit jamais de décorations plus magnifiques que celles de Perruzzi. […] La riche galanterie s’en va peu à peu de l’Opéra ; l’amour prodigue, la passion magnifique, disparaissent chaque jour.

98. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la poétique du ballet et de l’opéra »

Dans le meilleur de ces sortes d’ouvrages on voit tant de choses qui semblent communes ; la passion est si peu poussée dans les premiers, les détails sont si courts dans les autres ; quelques madrigaux dans les divertissements, un char qui porte une divinité, une baguette qui fait changer un désert en un palais magnifique, des danses amenées bien ou mal, des dénouements sans vraisemblance, une contexture en apparence sèche, certains mots plus sonores que les autres, et qui reviennent toujours ; voilà à quoi l’on croit que se bornent la charpente et l’ensemble d’un opéra.

99. (1936) Philosophie de la danse

Je pense qu’elle a obtenu ce magnifique résultat, puisqu’il s’agissait de sauver une forme d’art et d’en régénérer la noblesse et la puissance légitime, par une analyse infiniment déliée des ressources de ce type d’art, et des siennes propres.

100. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IX. le voyag e en amérique  » pp. 320-364

A l’ordre du lieutenant les rameurs se mirent en mouvement. « Quel magnifique spectacle, s’écria la divine Fanny, en voyant le bateau fendre les eaux ! […] Sous ses yeux s’étendaient d’un côté la magnifique baie de New-York, de l’autre la rivière de l’Hudson avec ses hauteurs pittoresques, ses riantes vallées, ses splendides paysages.

101. (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre V. De l’usage de la Danse grave & sérieuse, convenable aux Bals de cérémonie. » pp. 112-145

Comme j’étois appuyé sur une balustrade, vis-à-vis l’estrade où étoit placé le Roi, je comptai que cette magnifique assemblée pouvoit être composée de sept à huit cens personnes, dont les différentes parures formoient un spectacle digne d’admiration.

102. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « V. Pastels après décès. » pp. 54-87

Gruer était un personnage bizarre et magnifique : — Ouvrez les fenêtres !

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