[5] Ma lasciamo da parte sì fatta digressione, e torniamo al nostro proposito.
Viene necessariamente adoprato nella maggior parte de’ passi e puol servire in tutti di freggio e di ornamento.
Il faut au partir de la reuerence, commencer du pied droict & faire trois pas, auec quelque negligence sans trainer à terre, & s’esleuant sur la pointe des pieds, les genoux tendus, tourner vn peu l’espaule en dedans, du costé du pied qui auance, puis remettant le corps à son naturel, faire vn chasse-coulant deuant soy, & selon la grandeur du lieu, faire cognoistre à l’Escolier qu’il n’importe d’auancer apres le chasse, quelques pas non pairs, comme trois ou cinq sans chasser. […] Av sortir de la Reuerence, tenant le corps bien droict, faut partir du pied gauche, qu’on portera à costé, & faire que d’iceluy on marque tousiours le tour circulaire du lieu, ce qui sera bien aise en faisant tenir la pointe du pied fort ouuerte. […] Il faut partir par vn temps ou deux, en tournant deuant la femme, selon que la Musique obligera, à fin de finir ceste entree par vn pas entre coupé. […] Au quatriesme, desgager doucement le pied gauche de derriere, & le glisser à costé à demy pied de l’autre, & au cinquiesme, assembler comme au premier, & apres faire partir du pied gauche, à fin de faire couler quatre pas, les iambes fort tendues, & que les mouuemens procedent de la hanche : mais parce qu’au neufiesme pas le pied droict se trouue deuant, il faut pour faire le dixiesme, glisser le gauche & le porter encore vne fois à costé esloigné de demy pied, & assembler le pied droict au gauche.
Celui qui sera ainsi construit renoncera aux entrechats, aux cabrioles et à tous tems durs et compliqués, avec d’autant plus de raison qu’il sera infailliblement foible ; car ses hanches étant étroites, ou, pour parler le langage des anatomistes, les os du bassin étant en lui moins évasés, ils fournissent moins de jeu aux muscles qui s’y attachent, et dont dépendent en partie les mouvemens du tronc ; mouvemens et inflexions beaucoup plus aisés, lorsque ces mêmes os ont beaucoup plus de largeur, parce qu’alors les muscles aboutissent ou partent d’un point plus éloigné du centre de gravité. […] Grace à cette mauvaise habitude et aux jupes, elles paroissent plus brillantes que les hommes, parce que, comme je l’ai dit, ne battant que du bas de la jambe, elles passent leurs temps avec plus de vitesse que nous, qui ne dérobant rien au spectateur, sommes obligés de le battre tendus, et de les faire partir primordialement de la hanche ; et vous comprenez qu’il faut plus de tems pour remuer un tout qu’une partie.
Elle partit au petit bonheur, se lançant, à une distance énorme, dans les hasards de l’imprévu. […] Le 15 janvier 1842, elle partait de Philadelphie pour une nouvelle tournée à la Havane. […] Quand ils sont partis, elle se hâte de se coucher. […] Je désirerais bien nommer moi aussi, comme vous, l’Amérique ma seconde patrie ; mais il faut que je parte. […] Le lieutenant la prit par la main et, lui faisant faire quelques pas, lui dit : « Mademoiselle, nous voilà juste sur la poudrière. » — « Partons de là, partons de là, s’écria-t-elle, de peur que nous ne sautions. » — « Non pas, tant que vous serez avec nous, répondit le galant lieutenant ; il y a parmi les marins un proverbe qui dit que nous n’avons rien à craindre quand l’amour veille sur nous. » — « Quand vous quitterez ce pays, lui dit le capitaine, si le temps de mon départ coïncide avec le vôtre, je veux, belle Fanny, vous conduire en France sur mon navire. » « Ses manières, ses mouvements gracieux, son sourire fascinant avaient tourné les têtes des plus vieux grognards. » Le Siècle rapporte une autre réception sur un navire de l’Etat : « La charmante danseuse a été invitée à dîner à bord d’une frégate américaine.
Justes ou injustes, on ne les examina point ; on ne vit que la main de laquelle elles étaient parties.
Cette peine qu’ils méritaient par leurs désordres n’eut rien de flétrissant, parce qu’elle partait de la main d’un homme injuste.
. — Résolution de partir pour l’Amérique ; le mirage américain. — Adieux à Paris le 30 janvier 1840. — Une lettre de Th.
Elle détacha vivement du bouquet une autre fleur et me la présenta en disant d’un petit ton mélancolique et doux : « Mille grazie, signor. » Et puis elle passa, et le lendemain elle partit sans cortège et sans bruit de la ville où elle avait eu son premier succès. […] Mais dès le matin elle était partie. […] Ou il partirait bientôt guéri, ou il mourrait de sa blessure, et moi j’irais danser à l’autre bout du monde, comme si de rien n’était.
Celui qui sera ainsi construit renoncera aux entrechats, aux cabrioles, & à tous temps durs & compliqués, avec d’autant plus de raison qu’il sera infailliblement foible, car ses hanches étant étroites, ou pour parler le langage des anatomistes, les os du Bassin étant en lui moins évasés, ils fournissent moins de jeu aux muscles qui s’y attachent & dont dépendent en partie les mouvements du tronc, mouvements & inflexions beaucoup plus aisés, lorsque ces mêmes os ont beaucoup plus de largeur, parce qu’alors les muscles aboutissent ou partent d’un point plus éloigné du centre de gravité. […] La plupart d’entr’elles dansent les genoux ouverts comme si elles étoient naturellement arquées ; grace à cette mauvaise habitude & aux jupes, elles paroissent plus brillantes que les hommes, parce que, comme je l’ai dit, ne battant que du bas de la jambe, elles passent leurs temps avec plus de vîtesse que nous, qui ne dérobant rien au Spectateur sommes obligés de les battre tendus, & de les faire partir primordialement de la hanche, & vous comprenez qu’il faut plus de temps pour remuer un tout qu’une partie.
Nous partîmes.
Ils accompagnent leur opéra pendant trois réprésentations seulement, et partent immédiatement après pour aller faire le second, là où ils sont appellés.
La décharge meurtrière était partie d’une maison où l’on découvrait au troisième étage, près d’une fenêtre donnant sur le boulevard, une machine infernale formée de vingt-cinq canons de fusil. […] Le 4 octobre elle partait pour Berlin avec Thérèse. […] Les journaux lui reprochent d’avoir laissé partir l’un ; pour un peu, ils le rendraient responsable du mal au genou de l’autre. […] Herminie partit pour Londres où son nom seul parut une garantie suffisante de talent et la fit applaudir de confiance. […] « Elle s’avance, dit Théophile Gautier, dans les Beautés de Paris, en basquine de satin rose garnie de larges volants de dentelle noire ; sa jupe, plombée par le bord, colle exactement sur ses hanches ; sa taille de guêpe se cambre audacieusement et fait scintiller la baguette de diamants qui orne son corsage ; sa jambe, polie comme le marbre, luit à travers le frêle réseau de son bas de soie ; et son petit pied, en arrêt, n’attend pour partir que le signal de la musique.
Elle avait toujours cru qu’elle en avait commandé davantage, et partait en commander à nouveau. […] Elle n’ajouta qu’une petite babiole à ma commande, un médaillon avec chiffre en diamants… Je reçus la note dans la suite, mais elle était partie.
La musique, en tout genre, est partie intégrale des fêtes ; n’ayant pour souverain juge que l’oreille, elle doit employer tous ses moyens pour lui plaire.
Le pied droit est derrière à la quatrième position, le talon levé prêt à partir. […] Le danseur retombe sur celle des deux jambes qui est partie la première, et forme cette demi-pirouette avec l’autre jambe qui reste en l’air.
Je pars demain matin à six heures ? […] Toujours riant, il promit, puisque je prenais l’aventure au tragique, qu’il allait s’acquitter et il partit.
Je crains d’être bientôt plus malade que lui et de partir la première. […] Que ce fût le brouillon ou l’original, que la lettre fût partie ou non, peu m’importait, je n’aimais plus ma femme, je la trouvais foncièrement égoïste et cruelle, jusqu’à souhaiter la mort de mon père.
Il est si conforme aux principes de la religion et si solidement prouvé par les saintes Ecritures, qu’il ne peut être que très-utile de le mettre sous les yeux des catholiques : « S’il est besoin de se trouver aux compagnies quelquefois, il le faut faire prudemment, et selon que nous sommes enseignés, regarder avec discrétion quelles sont les compagnies que nous voulons fréquenter ; car il n’est pas permis de se réunir à toutes sortes de gens, de peur que tombant dans la compagnie de gens déréglés, l’on ne communique au mal, et que de mauvaises paroles ou actions on n’en remporte quelque vice… Il faut user du conseil que les anciens conciles donnoient jadis aux chrétiens quand ils seroient à quelques noces, qu’ils mangeassent sobrement et honnêtement ; et les tables étant levées, si les ménétriers entroient pour commencer les danses, qu’ils partissent de là.
« La natura opera ed insegna senza alcun discorso del saltatore, che quando vuol saltare, egli alza con impeto le braccia e le spalle, le quali seguitando l’impeto, si muovono insieme con gran parte del corpo, e levansi in alto, sino a tanto che il loro impeto in sè si consumi : il qual impeto è accompagnato dalla subita estensione del corpo incurvato nella schiena, e nella giuntura delle coscie, delle ginocchia e de’ piedi, la qual estensione è fatta per obbliquo, cioè innanzi ed all’insù ; e così il moto dedicato all’andare innanzi porta innanzi il corpo che salta, ed il moto di andare all’insù alza il corpo, e fagli fare grand’arco, ed aumenta il salto. » [traduction] [NdE Léonard de Vinci, Traité de la peinture, ch.
A partir de ce moment il y eut une grande amitié, une grande sympathie entre nous, bien que nous ne puissions pas arriver à nous entendre.
[8] Mi censura d’aver prescritta una troppo caricata situazion del principiante, e vuol dare ad intendere che in questa parte non debba farsi violenza alla natural positura.
Vous partez : bonsoir ! […] Elle partit en guerre avec impétuosité et bombarda d’un article de poids la légère créatrice de la Cachucha. […] A ce traité succéda le 10 juillet 1839 un second engagement à partir du 1er juin 1841 jusqu’au 31 mai 1845, aux mêmes conditions, avec dédit de 60 000 francs ; puis, le 12 décembre 1839, on régla les congés dus par l’administration jusqu’au 1er juin 1840. […] Léon Pillet n’eut pour se dédommager que la vente du mobilier et la recette de la représentation à bénéfice du 30 janvier 1840, que Fanny n’avait pas touchée avant de partir pour l’Amérique. […] A la fin de la saison, sa popularité était si grande que Lucile Grahn, qui lui avait pendant trois mois disputé la palme, jugea la place intenable et partit pour Londres, sans renouveler son engagement.
Je ne pus m’empêcher de lui demander d’où partaient les sons que j’entendais et s’il y avait une chasse à courre dans son jardin.
Au moment où mon train allait partir, mon bel ami monta dans mon wagon, et m’accompagna jusqu’à Marseille.
Ils vont partir, lorsqu’Armide instruite par son art de ses malheurs, paroît avec précipitation.
On avertit l’Empereur que tout est prêt pour la cérémonie ; il présente la main à Zulmire ; Usbeck offre la sienne à Zélis, ils partent accompagnées du plus brillant cortège pour se rendre à la Mosquée.
D’un groupe à l’autre de cette colonnade partaient des guirlandes pareilles, qui formaient un entablement à l’autre. […] Dès que le jour fut baissé, les places publiques, l’Hôtel-de-ville et toutes les rues furent illuminées ; le 17 Madame la Dauphine partit de Bayonne, et continua sa route. […] Le soir il fut déclaré qu’elle partirait sûrement le lendemain à 6 heures et demie précises du matin. […] On vit partir en même temps de ces tours les fusées d’honneur, et ensuite quantité d’autres artifices, soleils fixes et tournants, gerbes, etc. […] Les intervalles des différents temps auxquels les volcans partaient, étaient remplis par des fougades très vives par le grand nombre et par la singularité des fusées.