« Quelques-uns reprenaient la coutume que Lycurgue avait introduite, que les filles, à certains jours de Fête, allassent par la Ville toutes nues, et lui en demandaient la cause ; afin, répondit-il, que faisant les mêmes exercices que font les hommes, elles n’eussent rien moins qu’eux, ni quant à la force et santé du corps, ni quant à la vertu et générosité de l’âme, et qu’elles s’accoutumassent à mépriser l’opinion du vulgaire ; d’où vient que la femme de Léonidas nommée Gorgo, répondit, à quelques Dames étrangères qui lui disaient : Il n’y a que vous autres Lacédémoniennes qui commandiez à vos maris : aussi n’y a-t-il que nous qui portions des hommes… Et était en ce temps-là l’honnêteté et la pudicité des Dames si éloignée de la facilité que l’on dit avoir été depuis parmi elles, que l’on tenait l’adultère pour une chose impossible et incroyable. » Plut.
Cambrures et ports de bras, le jeu serré et rapide de temps battus, l’emploi sobre de la pirouette comme ressource suprême et qu’Auguste Vestris fut le premier à prodiguer, le fléchissement du genou et la démarche élastique, tout cela tient du style rocaille magistralement rendu par Aveline, sauf peut-être pour certains temps d’élévation.
En presentant les mains à la Demoiselle, dans le même goût que j’ai tâché d’exprimer dans ces deux Figures, & lorsque vous tenez les deux mains, vous faites un tour ou deux, mais l’homme fait un pas de Menuet en arriere, en amenant à lui la Demoiselle dont il quitte la main gauche seulement, pour en ôter du même tems son chapeau : enfin le pas du Menuet fini, l’homme porte le pied droit à côté de la deuxiéme position : & puis ils font ensemble les mêmes reverences qu’ils ont faites avant de danser.
Les scènes suivantes tiennent plus à l’épisode qu’au sujet même ; cependant, on y est insensiblement ramené par les fêtes que l’Amour institue, et par la présence de Vénus. […] Confuses, interdites et tremblantes, elles ne savent si elles doivent s’approcher ou fuir ; un charme inconnu les entraîne cependant vers l’amour, que les impressions agréables d’un songe embellissent encore ; elles avancent avec autant de précaution que de légèreté ; elles considèrent, et admirent en silence les traits de cet enfant : son sourire aimable, cette tendre innocence, cette bouche vermeille, dont le plaisir semble s’exhaler, ces yeux qui, quoique fermés, expriment le sentiment ; tout enfin jette les trois Arcadiennes dans une surprise qui tient du ravissement. […] L’amour, pour les convaincre de son attachement, réunit plusieurs guirlandes éparses pour n’en former qu’une seule avec la quelle il s’enchaîne aux trois jeunes Bergères qui en tiennent l’extrémité.
Le songe du Tyran est une imitation de la scène Anglaise ; cette action pantomime est frappée au coin du terrible ; elle est l’exposition complette de l’action ; ce n’est ni un hors-d’œuvre, ni un épisode étranger ; il naît naturellement du fond du sujet et y tient étroitement. […] Arbas est enchaîné, il a été surpris par les gardes de Thoas, mais leur vigilance a été trompée ; Pylade leur a échappé ; le Tyran tient dans ses mains la lettre qu’Iphigénie avoit confiée à Arbas ; il lui montre d’un air menaçant cette preuve de sa perfidie ; il lui ordonne d’immoler à l’instant la victime ; Iphigénie indignée d’un ordre aussi inhumain, tient Oreste étroitement serré dans ses bras et sécrie : Barbare, il est mon frère !
Dorval et Clairville également révoltés de la férocité et de l’inhumanité des habitans de cette isle, se rangent du côte de Constance ; ils la tiennent étroitement serrée dans leurs bras ; leurs corps sont un rempart qu’ils opposent à la barbarie de leurs ennemis, et leurs yeux animés et étincelans de colère semblent défier les Misogyniens. […] « Miraculeux, repondront-ils, ils sont du dernier bien ; et les arts agréables sont étonnants. » Représentez leur qu’il y a des changemens à faire, que la danse est froide, que les ballets n’ont d’autre mérite que celui du dessein, que l’expression y est négligée, que la pantomime est inconnue, que les plans sont vides de sens, que l’on s’attache à peindre des sujets trop minces ou trop vastes, et qu’il y auroit une réforme considérable à faire au théatre ; ils vous traiteront de stupide et d’insensé ; ils ne pourront s’imaginer que la danse et les ballets puissent leur procurer des plaisirs plus vifs. » Que l’on continue, ajouteront-ils, à faire de belles pirouettes, de beaux entrechats ; que l’on se tienne long tems sur la pointe du pied pour nous avertir des difficultés de l’art ; qu’on remue toujours les jambes avec la même vitesse, et nous serons contens. […] avouez, Monsieur, qu’il faut absolument ignorer la signification du mot, pour tenir un tel langage. […] On s’est écrié par la même raison que le fils naturel et le père de famille n’étoient point des pièces de théatre, et il a été plus facile de s’en tenir là que d’essayer de les jouer ; au moyen de quoi les artistes ont raison, et les auteurs sont imbécilles.
Dorval & Clairville également révoltés de la férocité & de l’inhumanité des habitants de cette Isle se rangent du côté de Constance ; ils la tiennent étroitement serrée dans leurs bras ; leurs corps est un rempart qu’ils opposent à la barbarie de leurs ennemis, & leurs yeux animés & étincelants de colere semblent défier les Misogyniens. […] « Que l’on continue, ajouteront-ils, à faire de belles pirouettes, de beaux entrechats ; que l’on se tienne longtemps sur la pointe du pied pour nous avertir des difficultés de l’Art ; qu’on remue toujours les jambes avec la même vîtesse, & nous serons contents. […] Avouez, Monsieur, qu’il faut absolument ignorer la signification du mot pour tenir un tel langage. […] On s’est écrié par la même raison, que le Fils naturel & le Pere de famille n’étoient point des Pieces de Théatre, & il a été plus facile de s’en tenir là que d’essayer de les jouer ; au moyen de quoi les Artistes ont raison & les Auteurs sont des imbécilles.
Je dirai simplement que la danse dans ce spectacle devroit être placée dans un jour plus avantageux ; j’avancerai seulement que l’opéra est son élément, que c’est là que l’art devroit prendre de nouvelles forces, et paroitre avec le plus d’avantage ; mais, par un malheur qui nait de l’entêtement des poètes, ou de la mal-adresse des maitres de ballets, la danse à ce spectacle ne tient à rien et ne dit rien ; elle est dans mille circonstances si peu analogue au sujet, et si indépendante du drame, que l’on pourroit la supprimer, sans affoiblir l’intérêt, sans interrompre la marche des scènes et sans en refroidir l’action. La plupart des poètes modernes se servent des ballets comme d’un ornement de fantasie, qui ne peut ni soutenir l’ouvrage, ni lui prêter de la valeur ; et dans le fait, ils n’ont pas tort, parce que les compositeurs n’ont pas senti qu’il falloit que les ballets tinssent au sujet, et que les auteurs les ont regardés comme des hors-d’œuvre imaginés pour remplir le vide des entre actes : mais ils auroient dû apperçevoir que ces accessoires, et ces épisodes étrangers à l’action, nuisent à l’ouvrage ; ces objets contraires et toujours désunis, ce cahos de choses mal cousües partagent l’attention, et fatiguent bien plus l’imagination qu’ils ne la satisfont : dèslors le plan de l’auteur disparoît, le fil échappe, la trame se brise, l’action s’évanouit, l’intérêt diminue, et le plaisir s’envole. […] La danse avertit en quelque façon le machiniste de se tenir prêt au changement des décorations ; vous savez en effet que le divertissement terminé, les lieux changent. […] Que veulent dire dailleurs cette quantité d’entrées seules, qui ne tiennent et ne ressemblent à rien ? […] non, sans doute, car le monologue tient à l’action ; il marche de concert avec la scène ; il peint, il retrace il instruit.
Il tenait dans sa main les mouvements secrets de la machine, qu’il avait exposée à leurs regards.
C’est par le contraste qu’elles tiennent l’une à l’autre, car elles n’ont en commun que la jeunesse et le talent.
Elles se disputent une rose qu’il tient à la main.
Qu’il soit honnête et intelligent, je n’en demande pas davantage pour faire avec lui un bail de dix-huit mois ou deux ans et pour lui rendre ma solitude moins austère en le traitant comme un compagnon et un ami. » Je reconnais bien là la bonté candide de vos jeunes années, et je sais assez la bienveillante douceur de votre caractère pour être certain que vous tiendrez parole.
C’est aussi une des premieres instructions que l’on donne à la jeunesse, pour former le corps & réveiller l’esprit ; elle peut aussi tenir son rang parmi les premiers élémens de la vie civile : les Anciens l’ont même regardée dans son origine, comme une espece de mistere & de cérémonie, puisque Lucien assure que parmi les Egyptiens & les Grecs, il n’étoit ni fête ni cérémonie complette où la Danse ne fût admise. […] L’on tient même que Rhea ou Cerès fut la premiere qui se plut à cet exercice, & qu’elle l’enseigna pour son culte à ses Prêtres, qu’on nommoit Curetes & Corybantes, tant en Crete, qu’en Phrygie, & que cette danse de fracas & de tumulte ne leur fut pas inutile ; car en sautant & dansant au son des cimbales & des clairons, ils sauverent la vie à Jupiter, parce que Saturne qui dévoroit ses enfans, n’entendit pas ses cris lors de sa naissance. […] L’on tient que ce fut une grande louange pour Mérion d’avoir été appelé bon Danseur par Homere, pour marquer ses grands exploits dans les combats ; car il y étoit si sçavant, qu’il en étoit estimé, non seulement des Grecs, mais encore des Troyens ses ennemis.
« J’ai toujours cru les bals dangereux ; ce n’a pas été seulement ma raison qui me l’a fait croire, ç’a encore été mon expérience ; et quoique le témoignage des pères de l’Église soit bien fort, je tiens que sur ce chapitre celui d’un courtisan doit être de plus grand poids. […] Ainsi, je tiens qu’il ne faut point aller au bal quand on est chrétien ; et je crois que les directeurs feroient leur devoir, s’ils exigeoient de ceux dont ils gouvernent les consciences, qu’ils n’y allassent jamais. » Il est beau de voir un homme du monde et d’un si rare génie, donner ici des leçons aux directeurs de conscience sur la manière dont ils doivent se conduire à l’égard de leurs pénitens et pénitentes qui fréquentent les bals et autres assemblées de danses. Après cela accusera-t-on de rigorisme ceux qui tiennent ferme pour ne pas permettre ce qu’un homme instruit par sa propre expérience, plus que par les livres, s’est cru obligé de recommander à ses enfans d’éviter ?
La seconde est uniquement employée à l’habillement de Vénus ; les Graces se chargent de son ajustement ; une partie des Nymphes s’occupe à ranger la toilette, pendant que les autres apportent aux Graces les ajustemens nécessaires ; les jeux et les plaisirs, non moins empressés à servir la Déesse, tiennent, ceux-ci la boîte à rouge, ceux-là la boité à mouches, le bouquet, le collier, les bracelets etc. […] Leur adresse à les parer étant égale, ils jettent loin deux ces inutiles instrumens de leur vengeance et de leur rage ; et s’élançant avec impétuosité les uns sur es autres, ils luttent avec un acharnement qui tient du délire et du désespoir ; ils se saisissent, se terrassent, s’enlevent de terre, se serrent, s’étouffent, se pressent et se frappent ; et le combat n’offre pas un seul instant qui ne soit un tableau. […] Si ceux qui m’ont critiqué sur la prétendue licence que j’avois prise d’introduire des Bostangis et des Janissaires au Sérail, avoient été témoins de l’exécution, de la distribution et de la marche de mon ballet, ils auroient vû que ces personnages, qui les ont blessé à cent lieues d’éloignement, n’entroient point dans la partie du Sérail ou se tiennent les femmes ; qu’ils ne paroissoient que dans le jardin, et que je ne les avois associés à cette scène que pour faire cortège, et pour rendre l’arrivée du Grand-Seigneur plus imposante et plus majestueuse.
Les Graces se chargent de son ajustement ; une partie des Nymphes s’occupe à ranger la toilette, pendant que les autres apportent aux Graces les ajustements nécessaires ; les Jeux & les Plaisirs non moins empressés à servir la Déesse tiennent, ceux-ci la boîte à rouge, ceux-là la boîte à mouches, le bouquet, le collier, les brasselets, &c. […] Leur adresse à les parer étant égale, ils jettent loin d’eux ces inutiles instruments de leur vengeance & de leur rage, & s’élançant avec impétuosité les uns sur les autres, ils luttent avec un acharnement qui tient du délire & du désespoir ; ils se saisissent, se terrassent, s’enlevent de terre, se serrent, s’étouffent, se pressent & se frappent, & ce combat n’offre pas un seul instant qui ne soit un tableau. […] Si ceux qui m’ont critiqué sur la prétendue licence que j’avois prise d’introduire des Bostangis & des Janissaires au Serrail, avoient été témoins de l’exécution, de la distribution & de la marche de mon Ballet, ils auroient vu que ces personnages qui les ont blessé à cent lieues d’éloignement, n’entroient point dans la partie du Serrail où se tiennent les Femmes ; qu’ils ne paroissoient que dans le jardin, & que je ne les avois associés à cette Scene que pour faire cortege & pour rendre l’arrivée du Grand Seigneur plus imposante & plus majestueuse.
Confuse, gênée, elle avait baissé les yeux qu’elle tenait obstinément fixés sur un tablier bleu, d’un bleu passé, et où les reprises apparaissaient plus nombreuses que l’étoffe. […] Tenez, regardez-le plutôt.
Après ce travail on répète les mêmes temps sans se tenir, pour acquérir l’équilibre et l’aplomb, qualités essentielles à un bon danseur.
Tout cela tient au goût, à l’esprit et à un amour-propre bien entendu, qui dit perpétuellement à l’artiste, sois original, deviens modèle, et n’imite que la nature.
Il s’y fit des Concerts si rares, Qu’ils eussent touché des Barbares, On chanta quatre ou cinq Récits Qui tenaient tous nos sens sursis.
En juin 1840, Léon Pillet, attaché depuis plusieurs années à l’Opéra en qualité de commissaire royal, prit la succession de Duponchel qui alla faire de l’orfèvrerie d’art, ou plutôt ce fut sa favorite, Mme Stoltz, la cantatrice, qui tint le gouvernail d’une main autoritaire et capricieuse. […] « Fanny, électrisée, entraînée, dansa comme jamais, elle fit des choses merveilleuses, surhumaines ; par exemple elle se tint en attitude trois minutes environ sur la pointe de l’orteil. […] « Le bien, la raison, la règle ne tiennent plus en bride cette génération rebelle, aveugle devant le mal, sourde à la prière. […] L’art tint jusqu’au bout une place prépondérante dans cette existence qu’il avait si magnifiquement illustrée. […] Elle entrait, en faisant une pirouette, dans le bureau où se tenaient le chef et le haut personnel de la maison.
Enfin la Peinture & la Poésie partent du même lieu, tiennent la même route, arrivent à la même fin, & tirent leur plus grande estime des premiers tems, où la magnificence & la délicatesse ont le plus éclaté. […] Il peignit un Prince avec de grandes oreilles d’âne, comme on peint Midas, assis sur un trône, environné du soupçon & de l’ignorance : en cet état il tend de loin la main à la calomnie, qui s’avance vers lui, le visage tout en feu, avec des attraits & des charmes extraordinaires ; elle tient de la main gauche un flambeau, & traîne de l’autre par les cheveux un jeune innocent, qui éléve les mains au Ciel pour implorer son assistance ; devant lui marche l’envie, au visage havre & aux yeux louches, accompagnée de la fraude & de l’artifice, qui parent & ajustent la calomnie pour la rendre plus agréable ; après vient le repentir sous la figure d’une Dame vêtue de deuil, avec ses habits tout déchirez, qui tourne la tête vers la vérité, & pleure de regret & de honte d’avoir servi la calomnie pour opprimer l’innocent. […] Turpilius Chevalier Romain, Labeon Préteur & Consul, les Poëtes Ennius, Pacuvius, Socrate, Platon, Métrodore, Pirron, Néron, Commode, Adrien, Aléxandre, Severe, Antonin, Gordien, & plusieurs autres Empereurs & Rois, n’ont pas tenu au-dessous d’eux d’y employer une partie de leur tems. […] Pour ce qui est de l’esprit, il est égal dans ces deux arts : le même Horace qui nous a donné des régles si excellentes de la Poésie, dit qu’un tableau tient également en suspens les yeux du corps & ceux de l’esprit. […] La trop grande facilité que l’on trouve à découvrir les choses, affoiblit ordinairement les désirs ; les premiers Philosophes ont cru qu’ils devoient enveloper la vérité sous des fables & des allégories ingénieuses, afin que leur science fût recherchée avec plus de curiosité, ou qu’en tenant les esprits appliquez, elle y jettât des racines plus profondes ; car les choses font d’autant plus d’impression dans notre esprit & dans notre mémoire, qu’elles exercent plus agréablement notre attention : Jesus-Christ même s’est servi de cette façon d’instruire, afin que les comparaisons & les paraboles tinssent ses auditeurs plus attentifs aux véritez qu’elles signifioient.
Une chose tout aussi nécessaire à la sureté du public, et qui doit d’autant plus fixer l’attention de l’architecte, qu’elle est indispensable, c’est de disposer toutes les portes de manière qu’elles s’ouvrent en dehors, toutes celles des sorties ne doivent avoir qu’une même clef ; les deux portiers de l’administration en auraient chacun une, et ils seraient tenus d ouvrir avant la fin du dernier divertissement, où à l’instant qui leur serait prescrit par l’inspecteur de la salle. […] Au reste tout ceci demande des recherches, des essais et de la constance ; ce qui est d’autant plus difficile, qu’on effleure tout, qu’on n’approfondit rien, qu’on tient aux anciennes habitudes du théatre, et qu’il est plus aisé d’être froid imitateur que d’imaginer et de créer. […] Mais j’ai crû pouvoir parler avec quelqu’assurance de tout ce qui tient au goût, à la commodité, à la sûreté des salles de spectacles. […] Les acteurs seront plus libres dans leur jeu, dans leurs entrées, dans leurs sorties ; les incidens, les coups de théâtre, les situations, et tout ce qui tient enfin aux charmes et à l’illusion de la scène, s’oppéreront facilement et avec précision.
Ce fut ensuite un monsieur de Londres, que je tenais en trop haute estime pour lui demander quoi que ce fût, et qui me réclamait dix livres sterling– soit deux cent cinquante francs –qu’il m’avait prêtées, toujours par l’entremise de ma jeune et élégante secrétaire. […] De plus je tenais à ce que M.
Elle a encore tenu à interpréter Berlioz : pantomime d’un style douteux, perruque bleue colifichets dits « avancés » : passons !
« Tiens-toi droit, ou je te mettrai une règle dans le dos » comme nous disait jadis le maître d’études.