/ 94
58. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Seconde partie — Livre deuxième — Chapitre IV. Des Bals »

Le Cardinal Hercule de Mantoue qui y présidait en assembla les Pères, pour déterminer la manière dont le fils de l’Empereur Charles Quint y serait reçu.

59. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre premier. Justes idées sur les Danses contre lesquelles on écrit. » pp. 2-10

Sichem, fils d’Hémor, prince de ce pays, l’ayant vue, conçut de l’amour pour elle, l’enleva et la déshonora.

60. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Le jugement de Pâris. Ballet héroïque. » pp. 171-182

Les maîtres de ballets en voulant faire briller la richesse de leur imagination, n’ont montré que la médiocrité de leurs conceptions, et par une inconséquence rare, ils ont donné une si prodigieuse extension à ce sujet, que les fils propres à en former la trame, se sont rompus.

61. (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre VI. De l’origine des Bals masquez. » pp. 146-160

.… qui donnoit un bal dans le cul-de-sac de la rue des Blancs-Manteaux, au sujet du mariage d’un de ses fils, il y a près de cinquante ans.

62. (1852) Tableau de Paris. Chapitre XII « [Chapitre XII. Extrait] » pp. 104-108

Quand le rat a dévoré plusieurs beaux fils opulents, il passe à l’état de panthère, et il appartient alors à la grande famille des carnassiers.

63. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre II. Preuves contre les Danses, tirées des Saintes Ecritures. » pp. 11-22

Les lèvres de la prostituée sont comme le rayon d’où coule le miel, et son gosier est plus doux que l’huile ; mais la fin en est amère comme l’absinthe, et perçante comme l’épée à deux tranchans : ses pieds descendent dans la mort, ses pas s’enfoncent jusqu’aux enfers ; ils ne vont point par le sentier de la vie ; ses démarches sont vagabondes et impénétrables : maintenant donc, mon fils, écoutez-moi, et ne vous détournez point des paroles de ma bouche : éloignez d’elle votre voie, et n’approchez point de la porte de sa maison.

64. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Discours préliminaire. » pp. -

C’est là mon Fils bien-aimé en qui j’ai mis toute mon affection : écoutez-le. […] David étant près de mourir, dit à Salomon son fils dans les derniers avis qu’il lui donna, que Dieu lui promettant de conserver le trône à ses descendans, n’avoit fait cette promesse que sous la condition qu’ils seroient fidèles à observer ses lois ; et pour marquer ce en quoi cette fidélité devoit consister, il dit : (3.

65. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre quinzième et dernière. » pp. 216-240

Il faudroit jouer, disois-je un jour à un comédien, le père de famille et le fils naturel. […] On s’est écrié par la même raison que le fils naturel et le père de famille n’étoient point des pièces de théatre, et il a été plus facile de s’en tenir là que d’essayer de les jouer ; au moyen de quoi les artistes ont raison, et les auteurs sont imbécilles.

66. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — La mort d’agamemnon. ballet tragique. en cinq actes.  » pp. 141-169

Il y a eu, j’en conviens et je finis par là, plus de hardiesse à traiter le sujet dont il s’agit, qu’à rapprocher un fils de la maison paternelle pour venger la mort de l’auteur de ses jours, et je sens toute la difficulté du succès. […] Oreste, fils d’Agamemnon et de Clytemnestre.

67. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — DERNIERE LETTRE. » pp. 435-484

Il faudroit jouer, disois-je un jour à un Comédien, le Pere de famille & le Fils naturel : ils ne feroient point d’effet au Théatre, me répliqua-t-il. […] On s’est écrié par la même raison, que le Fils naturel & le Pere de famille n’étoient point des Pieces de Théatre, & il a été plus facile de s’en tenir là que d’essayer de les jouer ; au moyen de quoi les Artistes ont raison & les Auteurs sont des imbécilles.

68. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XVI. » pp. 160-172

Dans l’instant de l’horrible massacre des fils d’Egyptus que les Danaïdes leurs nouvelles épouses immolent par obéissance aux volontés barbares de Danaiis leur père, cette action se passe dans la première nuit de leur union et au milieu des ténèbres ; si lorsque le tyran inquiet et farouche paroit devancé par des esclaves portant des torches allumées pour le conduire au lieu du massacre il entend les cris plaintifs et les accens douloureux des mourans, (articulés par un choeur caché) ; si comblé d’allégresse, il fait ouvrir les rideaux qui dérobent au public cette action sanguinaire ; s’il frappe du poignard dont il est armé celles de ses victimes dangereusement blessées et qui implorent vainement sa clémence ; quel effet prodigieux un pareil tableau ne doit-il pas produire !

69. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XV, quelques souverains » pp. 160-177

Lorsqu’ils repartirent pour leur pays, mon manager les accompagna, dans l’espoir que, par leur entremise, je pourrais peut-être danser à la cour, devant l’Impératrice douairière et son fils, Kouang-Sou.

70. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre X. » pp. 130-144

La tête conduit rarement les jambes ; et comme l’esprit et le goût ne résident pas dans les pieds, on s’égare souvent ; l’homme intelligent disparoit ; il n’en reste qu’une machine mal combinée, livrée à la stérile admiration des sots, et au juste mépris des connoisseurs Etudions donc, Monsieur, cessons de ressembler à ces marionnettes, dont les mouvemens dirigés par des fils grossiers n’amusent et ne font illusion qu’au peuple.

71. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre VI. » pp. 56-71

Vestris le fils en est la preuve.

72. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE X. » pp. 261-289

Etudions donc, Monsieur ; cessons de ressembler à ces marionnettes, dont les mouvements dirigés par des fils grossiers n’amusent & ne font illusion qu’au Peuple.

73. (1881) Albine Fiori « Albine. Le dernier roman de George Sand — Quatrième lettre. Flaminien d’Autremont à Melchior de Sainte-Fauste. » pp. 83-91

Cette personne excellente et charmante, pour qui je me sentais le cœur d’un fils, je la détestais, du moment que je découvrais le mobile de sa conduite.

74. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre VIII. » pp. 65-96

On leur paroît sans goût, si l’on n’est aussi gothique qu’eux : ils traitent d’ignorans ceux qui n’adoptent point avec bonhommie les vieilles lois de ce spectacle, et les anciennes rubriques aux quelles ils sont attachés de père en fils. […] Convenez, Monsieur, qu’un auteur qui abandonne son ouvrage aux soins de cinq personnes qu’il ne voit jamais, qui se connoissent à peine et qui s’évitent toutes, ressemble assez à ces pères, qui confient l’éducation de leurs fils à des mains étrangères, et qui, par dissipation ou par esprit de grandeur, croiroient déroger s’ils veilloient à leurs progrès.

75. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE VIII. » pp. 129-194

On leur paroît criminel si l’on n’est aussi gothique qu’eux : ils traitent de profanes ceux qui n’adoptent point avec bonhommie les vieilles loix de ce Spectacle, & les anciennes rubriques auxquelles ils sont attachés de pere en fils. […] Convenez, Monsieur, qu’un Auteur qui abandonne son ouvrage aux soins de cinq personnes qu’il ne voit jamais, qui se connoissent à peine, & qui s’évitent toutes, ressemble assez à ces Peres qui confient l’éducation de leurs fils à des mains étrangeres, & qui par dissipation ou par esprit de grandeur croiroient déroger, s’ils veilloient à leurs progrès.

76. (1921) Salvatore Viganò pp. 167-190

Au cours du sacrifice solennel qui suivait, le jeune Décius, fils d’un consul, qui venait de remporter le prix de la course, croisait ses regards avec ceux de la vestale Emilia et un grand trouble les saisissait l’un et l’autre sans que les assistants, occupés à la célébration de l’holocauste, y prêtassent attention. […] La critique n’y trouva à reprendre qu’un seul détail : Un fils de consul comme Décius ne pouvait vraisemblablement prendre part à une course de chars.

77. (1921) L’âme et la danse pp. 99-128

Qu’en penses-tu, fils d’Acumène ? […] SOCRATE Dis-moi donc, fils d’Acumène, ô Thérapeute Éryximaque, toi pour qui les drogues très amères et les aromates ténébreux ont si peu de vertus cachées que tu n’en fais aucun usage ; toi donc, qui possédant aussi bien qu’homme du monde, tous les secrets de l’art et ceux de la nature, toutefois ne prescris, ni ne préconises, baumes, ni bols, ni les mastics mystérieux ; toi, davantage, qui ne te fies aux élixirs, qui ne crois guère aux philtres confidentiels ; ô guérisseur sans électuaires, ô dédaigneux de tout ce qui, — poudres, gouttes, gommes, grumeaux, flocons, ou gemmes ou cristaux, — happe à la langue, perce les voûtes olfactives, touche aux ressorts de l’éternuement ou de la nausée, tue ou vivifie ; dis-moi donc, cher ami Éryximaque, et des iâtres le plus versé dans la matière médicale, dis-moi cependant : connais-tu point, parmi tant de substances actives et efficientes, et parmi ces préparations magistrales que ta science contemple comme des armes vaines ou détestables, dans l’arsenal de la pharmacopée, — dis-moi donc, connais-tu point quelque remède spécifique, ou quelque corps exactement antidote, pour ce mal d’entre les maux, ce poison des poisons, ce venin opposé à toute la nature ?

78. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VIII. victoires et revers  » pp. 262-319

C’était une statuette, exécutée par Barre fils, qui représentait Fanny dansant la cachucha. […] Ce fut une statuette, du même modèle que celle de Fanny Elssler, et du même auteur, Barre fils. […] « Si Mlle Elssler ressemble à autre chose qu’à elle-même, c’est assurément au fils d’Hermès et d’Aphrodite, à l’androgyne antique, cette ravissante chimère de l’art grec.

79. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre II. Objections tirées de l’Ecriture sainte. » pp. 151-166

Le fils de l’homme est venu buvant et mangeant , et vous dites : C’est un homme de bonne chère et qui aime à boire.

80. (1921) Le Ballet de l’Opéra pp. 191-205

Peu de naïveté en général, volonté obstinée, ambition précoce, allures et caractère gavroches, absence relative d’enseignement moral, éducation qui rappelle celle que donne le Neveu de Rameau à son fils, ardeur extrême au travail, voilà, m’assurent les initiés, quelques principaux traits qui distinguent les marcheuses et les petites classes.

81. (1927) Paul Valéry philosophe de la danse

« Elle croise, elle décroise, elle trame la terre avec la durée… Ô le charmant ouvrage, le travail très précieux de ses orteils intelligents qui attaquent, qui esquivent, qui nouent et qui dénouent, qui se pourchassent, qui s’envolent »… Que devient notre danseuse cependant que le fils d’Acumène ainsi s’exclame, aussi volubile que ces « pieds prodigieux » g ?

82. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la musique moderne »

Ils avaient aussi des chansons pour les diverses professions : telles étaient les chansons des bergers, dont une espèce appelée bucoliasme, était le véritable chant de ceux qui conduisaient le bétail ; et l’autre, qui est proprement la pastorale, en était l’agréable imitation : la chanson des moissonneurs, appelée le lytierse, du nom d’un fils de Midas qui s’occupait par goût à faire la moisson : la chanson des meuniers, appelée hymëe ou épiaulie, comme celle-ci tirée de Plutarque : Moulez, meule ; moulez ; car Pittacus qui règne dans l’auguste Mytilene, aime à moudre ; parce que Pittacus était grand mangeur : la chanson des tisserands, qui s’appelait eline : la chanson jule des ouvriers en laine : celle des nourrices, qui s’appelait catabaucalese ou nunnie : la chanson des amans, appelée nomion : celle des femmes, appelée calycé, et harpalyce celle des filles ; ces deux dernières étaient aussi des chansons d’amour. […] Nous en devons l’invention à Jubal fils de Lamech.

/ 94