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152. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre II. » pp. 9-16

Le ballet bien composé est une peinture vivante des passions, des mœurs, des usages, des cérémonies et du costume de tous les peuples de la terre : conséquemment il doit être pantomime dans tous les genres, et parler à l’âme par les yeux ; est-il dénué d’expression, de tableaux frappants, de situations fortes, il n’offre plus alors qu’un spectacle froid et monotone. […] Qu’un homme de génie arrange les lettres, forme et lie les mots, elle cessera d’être muette, elle parlera avec autant de force que d’ênergie ; et les ballets partageront alors avec les meilleures pièces du théatre la gloire de toucher, d’attendrir, de faire couler des larmes, d’amuser, de séduire et de plaire dans les genres moins sérieux.

153. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Lettres sur la musique] — Réponse à la question proposée. — Lettre xvii.  » pp. 102-108

La danse de l’opéra, Madame, est trop riche et trop nombreuse, pour que j’ose entreprendre de vous parler de tous les sujets qui la composent. […] Je ne les ai vus qu’en passant ; et je suis dans l’impossibilité de vous parler de leur mérite particulier.

154. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE II. » pp. 15-29

Le Ballet bien composé est une Peinture vivante des passions, des mœurs, des usages, des cérémonies, & du costume de tous les Peuples de la terre ; conséquemment, il doit être Pantomime dans tous les genres, & parler à l’ame par les yeux. […] Qu’un homme de génie arrange les lettres, forme & lie les mots, elle cessera d’être muette, elle parlera avec autant de force que d’énergie, & les Ballets alors partageront avec les meilleures Pieces du théatre la gloire de toucher, d’attendrir, de faire couler des larmes ; & d’amuser, de séduire & de plaire dans les genres moins sérieux.

155. (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Préface. » pp. -

Quelques Auteurs celebres en ont parlé, & je ne m’arrêterai point à compiler leurs ouvrages. […] Après avoir composé la Musique des divers Ballets dont je viens de parler, il entreprit de donner aux yeux de la Cour & de la Ville ces Tragedies Lyriques qui font encore l’admiration & le charme des Spectateurs.

156. (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Paralele. DE. LA PEINTURE. ET DE. LA POESIE. » pp. 213-269

Je n’ai jamais douté que ces deux Arts ne soient d’une égale considération, ni que l’un & l’autre ne méritassent les mêmes honneurs : j’en parle dans ce sens-là ; & je ne fais que suivre le sentiment des Auteurs les plus célébres qui ont traité cette matiere, & par rapport à la convenance que ces deux Arts ont avec la Musique. […] Mon but est seulement de ne rien dire que l’on ne trouve établi dans les Ecrivains anciens & modernes, qui ont parlé du sujet de cette Dissertation ; je crois cependant qu’il est bon d’avertir qu’en parlant comme je fais de la Poésie & de la Peinture, je les suppose toujours dans le plus haut dégré de perfection où elles puissent arriver. […] Enfin ces ouvrages & les peintures anciennes dont on vient de parler, sont les sources de l’érudition la plus assurée ; & c’est de-là que nous voyons dans un grand nombre de sçavans cette vive curiosité des médailles, des pierres gravées, & de tout ce qui, dans les beaux Arts, porte le caractere de l’antiquité. […] Enfin il est de l’essence de la Peinture de parler par les choses, comme il est de l’essence de la Poésie de peindre par les paroles. Il n’est pas véritable, poursuivra-t-on, que la Peinture parle & se fasse entendre par les choses mêmes, mais seulement par l’imitation des choses.

157. (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Approbation. De M. l’Abbé Richard, Doyen des Chanoines de l’Eglise Royale & Collégiale de Ste Opportune à Paris, Prieur-Seigneur de l’Hôpital, &c. Censeur Royal. » pp. -

Bonnet n’en parle qu’en Historien ; il n’entre point dans cette discution, il la laisse aux Casuistes Etant obligé de rendre mon jugement sur son Livre, j’ai eu la même attention.

158. (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 22 janvier. Prose morose. »

Mais, au fait, pourquoi ne parlerait-elle pas ?

159. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE XI. » pp. 290-314

Celui qui sera ainsi construit renoncera aux entrechats, aux cabrioles, & à tous temps durs & compliqués, avec d’autant plus de raison qu’il sera infailliblement foible, car ses hanches étant étroites, ou pour parler le langage des anatomistes, les os du Bassin étant en lui moins évasés, ils fournissent moins de jeu aux muscles qui s’y attachent & dont dépendent en partie les mouvements du tronc, mouvements & inflexions beaucoup plus aisés, lorsque ces mêmes os ont beaucoup plus de largeur, parce qu’alors les muscles aboutissent ou partent d’un point plus éloigné du centre de gravité. […] Monsieur Vestris est jarreté, & les gens de l’Art ne s’en appercevroient point sans l’entrechat droit qui le trahit quelquefois ; c’est le meilleur ou le seul Danseur sérieux qui soit au Théatre ; il est élégant, il joint à l’exécution la plus noble & la plus aisée le rare mérite de toucher, d’intéresser & de parler aux passions. […] La nature n’a pas exempté le beau sexe des imperfections dont je vous ai parlé, mais l’artifice & la mode des jupes sont heureusement venus au secours de nos Danseuses.

160. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VI. Ballade des dames du temps jadis. » pp. 88-

Elle eut pour concurrente à l’Opéra madame Gardel (mademoiselle Miller) dont j’ai parlé tout à l’heure. […] Seriez-vous assez bon pour parler de moi et pour dire que je rentre au pied levé ? […] De grâce, parlez ! […] Ses ailes à peine poussées, on parla de la produire. […] Le spirituel chroniqueur entend-il parler des cadeaux que l’on fait ou de ceux qu’on reçoit ?

161. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « VII. Brelan d’astres » pp. 134-175

. — La danseuse parle. — Voyages et triomphes. — A Milan. — Le général, les grenadiers et la polka. — Retour à Paris. — Le banquet aux Frères-Provençaux. — Les vers de Gustave Waëz. […] Parlez-nous des flicflacs et des pas de zéphire ! […] Théophile Gautier, toutefois, parla de la débutante sans excès de lyrisme : « Elle a du feu, mais pas assez d’originalité ; elle manque de cachet à elle ; c’est bien, mais ce n’est pas mieux. […] Mais à la direction des Beaux-Arts, on était moins aveugle : le chef du bureau des théâtres, un Perrot aussi, poussé peut-être par une secrète sympathie pour sa charmante homonyme, avait parlé d’elle à M. […] Si ce n’était qu’un tour de force, nous n’en parlerions pas ; mais cet élan si périlleux forme un groupe plein de grâce et de charme ; on dirait plutôt une plume de colombe soutenue par l’air qu’un corps humain qui se lance d’un plancher !

162. (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Des manières de civilités. » pp. 138-159

Lorsqu’on accompagne une personne à qui l’on doit des égards, on lui cède également le chemin le plus commode ; et s’il venait à propos de changer de côté, on le laisse devancer pour passer derrière et prendre celui convenable, réglant sa marche suivant la sienne, et observant les mêmes civilités qu’il pourrait employer envers les personnes qu’il rencontrerait ; et s’il s’arrêtait pour leur parler, on s’écarte un peu, n’observant point leur conversation. […] Lorsqu’une dame marche dans les rues, elle doit observer une bonne contenance et décence, et s’abstenir de précipiter sa marche ni de laisser tomber les bras comme les cavaliers ; elle les tiendra près d’elle, les coudes pliés, l’avant-bras et la main tournes devant elle, une ou les deux, selon l’usage nécessaire dont elle pourrait en avoir besoin : elle ne doit fixer personne, ni s’arrêter pour parler, à moins qu’elle n’y soit forcée par condescendance envers quelqu’un qu’elle rencontrerait et à qui elle devrait des égards ; elle s’arrêtera alors le moins long-tems possible, en faisant une révérence ou en s’inclinant. […] Il ne faut point s’approcher trop près des personnes, ni s’en éloigner trop, afin de pouvoir entendre s’ils vous parlaient, et qu’ils ne soient point obligés d’élever la voix. […] Si l’on n’a qu’à parler, après avoir été entendu, on fera également le salut ou révérence à la quatrième position en arrière, continuant de marcher à cette position pour se retirer, et on répétera ce salut avant de sortir.

163. (1921) Théophile Gautier et le ballet romantique pp. 149-162

« Quand Fanny danse », renchérit-il, « on pense à mille choses joyeuses… … Taglioni vous faisait penser aux vallées pleines d’ombre et de fraîcheur, où une blanche vision sort tout à coup de l’écorce d’un chêne aux yeux d’un jeune pasteur surpris et rougissant ; elle ressemblait à s’y méprendre à ces fées d’Écosse, dont parle Walter Scott, qui vont errer au clair de lune, près de la fontaine mystérieuse, avec un collier de perles de rosée et un fil d’or pour ceinture… » Combien diffère de cet art immatériel, de cette idéale séraphicité de la Sylphide, « ce démon dont n’avait pas rêvé Charles Nodier », la vivacité espagnole de Fanny tempérée par sa naïveté allemande. « Les filles de Milet, les belles Ioniennes, dont il est tant parlé dans l’antiquité, ne devaient pas danser autrement », suppose Gautier. […] Dans son feuilleton en forme de lettre à Henri Heine, auquel il était redevable de la première inspiration, Gautier parle brièvement de l’exécution de Giselle par Carlotta. […] « Si ce n’était qu’un tour de force nous n’en parlerions pas ; mais cet élan si périlleux forme un groupe plein de grâce et de charme ; on dirait plutôt une plume de colombe soutenue par l’air qu’un corps humain qui se lance d’un plancher… » Mais Gautier ne quitte Le Pas de l’ombre que pour combler des plus hauts éloges le Pas de l’abeille, cette suave et chaste transposition d’une vision d’Orient ardente et lascive.

164. (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 12 février. Pour un répertoire. »

Voilà plus de dix ans que l’Opéra a laissé tomber Namouna, reprise jadis parla direction Messager.

165. (1725) Le maître à danser [graphies originales] « Le maître a danser. premiere partie — Chapitre X. De la maniere d’ôter son chapeau, & de le remettre. » pp. 24-28

Premiere temps pour oster le Chapeau [Légende intérieure] plie du coude Après avoir donné la démonstration des Positions, & parlé des Reverences en general, pour suivre l’ordre que je dois observer, & que l’on ne fait pas de reverence sans ôter le chapeau avant de la commencer.

166. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « XI. Le corps de ballet actuel. » pp. 228-269

Dans je ne sais plus quel vaudeville, comme il était en train de raconter sa traversée de Calais à Douvres : — Et la mer, questionnait quelqu’un, vous ne nous parlez pas de la mer ? […] Jourdain parle de t’arracher la figure. […] … Je verrai votre père, je lui parlerai, je lui ferai entendre raison… Il vous pardonnera, j’en suis sûr… Mais comment avez-vous pu faire ? […] Mesdemoiselles Leppich Ire, IIe & IIIe Elles me rappellent la fille d’un brave vigneron d’Argenteuil, devant lequel on parlait de certaines jeunesses du pays qui avaient mal tourné. […] Panserose ajoute : « Sa mère… Mais non : je n’en veux plus parler… Je dirais des choses à faire rougir ou à faire pleurer ! 

167. (1860) Mémoires de Rigolboche « Mémoires de Rigolboche — Chapitre XII » pp. 167-185

. — Comment on doit lui parler. — La rousse. — Moyen de réussir auprès d’elle. — Les grises et les blanches. — La femme grise bas-bleu. — Le mépris qu’il faut avoir pour leurs amants. — Moi. — Les chauves. — Les perruques. — Celle de mademoiselle L***. — Une mèche de ses cheveux. — Un malin — Une de ses manières de se présenter à une femme. — Pourquoi mademoiselle S*** ne rit jamais. […] XXX Dans le commencement de ce chapitre j’ai vaillamment déclaré n’avoir jamais rencontré un seul homme habile à parler aux dames.

168. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XX, une expérience » pp. 222-231

Pendant que je parlais de ma protégée, l’ambassadrice se souvint de l’avoir déjà vue danser chez sa sœur à Chicago quelques années auparavant. […] Lorsqu’elle eut fini, personne ne parla.

169. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre III. Objections tirées des Docteurs de l’Eglise. » pp. 167-174

Les chrétiens d’aujourd’hui ont-ils plus d’éloignement du vice, et sont-ils plus affermis dans la vertu, que ne l’étoient ceux à qui les anciens Pères de l’Eglise parloient ? […] Dites que les saints pères ne blâment pas toutes ces choses et tous ces amas de périls que les théâtres réunissent : dites qu’ils n’y blâment pas les choses honnêtes qui enveloppent le mal, et lui servent d’introducteur… Parmi ces commotions dont je parle, qui peut élever son cœur à Dieu ?

170. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre III. » pp. 17-24

S’ils ne disent rien sur la scène, ils y sont de trop, et doivent en être bannis ; s’ils y parlent, il faut que leur conversation soit toujours analogue à celle des premiers acteurs. […] Cette quantité prodigieuse de combattans, de vaincus et de vainqueurs, partage agréablement les regards, et concourt unanimement à la beauté, et à la perfection de ces chefs d’œuvre ; chaque tête a son expression, et son caractère particulier ; chaque attitude a de la force et de l’énergie ; les groupes, les terrassemens, les renversemens sont aussi pittoresques, qu’ingénieux : tout parle, tout intéresse, parce que tout est vrai ; parce que l’imitation de la nature est fidelle ; en un mot, parce que tout concourt à l’effet général.

171. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre V. » pp. 32-39

La musique bien faite doit peindre, doit parler : la danse, en imitant ses sons sera l’echo qui répétera tout ce qu’elle articulera. […] Il ne peut se distinguer dans son art, qu’autant qu’il s’appliquera à l’étude de ceux dont je viens de parler : exiger qu’il les posséde tous dans un dégré de supériorité qui n’est réservé qu’à ceux qui se livrent particulièrement à chacun d’eux, ce seroit demander l’impossible ; mais s’il n’en a pas la pratique, il doit en avoir l’esprit.

172. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE III. » pp. 30-46

S’ils ne disent rien sur la Scene, ils y sont de trop, & doivent en être bannis ; s’ils y parlent, il faut que leur conversation soit toujours analogue à celle des premiers Acteurs. […] Que les Maîtres de Ballets qui voudront se former une idée juste de leur Art, jettent attentivement les yeux sur les batailles d’Alexandre, peintes par Lebrun ; sur celles de Louis XIV, peintes par Vander-Meulen, ils verront que ces deux Héros qui font les Sujets principaux de chaque Tableau, ne fixent point seuls l’œil admirateur ; cette quantité prodigieuse de combattants, de vaincus & de vainqueurs, partage agréablement les regards, & concourt unanimement à la beauté & à la perfection de ces chef-d’œuvres ; chaque tête a son expression & son caractere particulier ; chaque attitude a de la force & de l’énergie ; les grouppes, les terrassements, les renversements sont aussi pittoresques qu’ingénieux : tout parle, tout intéresse, parce que tout est vrai ; parce que l’imitation de la nature est fidelle ; en un mot, parce que la toile semble respirer.

173. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE V. » pp. 61-77

La Musique bien faite, doit peindre, doit parler ; la Danse en imitant ses sons, sera l’écho qui répétera tout ce qu’elle articulera. […] Il ne peut se distinguer dans son Art, qu’autant qu’il s’appliquera à l’étude de ceux dont je viens de parler : exiger qu’il les posséde tous dans un degré de supériorité, qui n’est réservé qu’à ceux qui se livrent particuliérement à chacun d’eux, ce seroit demander l’impossible.

174. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre VII. Objection : On a toujours dansé. » pp. 188-201

., si nous demeurons dans la vérité et si la vérité demeure en nous, tenons-nous attachés à ce qui est vrai, plutôt qu’à ce qui est selon la coutume. » Saint Jean Chrysostôme expliquant à son peuple l’endroit de la Genèse, où il est parlé du mariage de Jacob avec Rachel, (c. 29.) en prend occasion de parler contre les danses et les autres désordres qui avoient lieu de son temps aux noces, et qui étoient autorisés par la coutume. […] « Je leur dis que la meilleure et la plus courte réponse que je pourrai faire à ceux qui parloient ainsi, étoit de leur dire : Otons au moins présentement ce qu’il y a si longtemps qu’on auroit dû ôter. » Ce saint, repassant sous les yeux de Dieu ses égaremens passés, gémit en particulier sur ceux dans lesquels les mauvaises coutumes l’avoient entraîné ; et en déplorant son propre malheur, il déplore en même temps celui de tant de mauvais chrétiens qui croient pouvoir faire innocemment ce qui paroît autorisé par la coutume, et qui par là se perdent sans y penser.

175. (1806) L’Art de la danse, poëme en quatre chants, calqué sur l’Art poétique de Boileau pp. -247

Je me suis donc décidé à ne parler que des genres, qui se réduisent à trois, et comme il fallait des exemples, j’ai choisi une ou deux personnes qui ont excellé dans chacun. […] C’est ainsi que vous parle un ami véritable. […] C’est ainsi que vous parle un ami véritable ; N’allez point, par orgueil, devenir intraitable. […] Chant II, vers Au contraire cet autre, abject en son langage, Fait parler ses bergers comme on parle au village. […] Il se rendit si illustre à la Cour, par ses inventions de ballets, de musique, de fêtes et de représentations, qu’on ne parlait que de lui.

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