Sous toutes sortes de formes ; de toutes sortes de manières, elle m’a interrogé sur la cause et la fin des choses.
. — Pourquoi Markouski ne cause plus avec ses invités à partir de quatre heures. — Moi. — Mes succès dans les bals. — Mon envie d’entrer au théâtre. — Henri Delaage. — Arthur Delavigne. — Folichons et Folichonnettes. — Les Délassements-Comiques. […] Mais, depuis ce temps, Markouski ne cause plus avec ses invités passé quatre heures.
Sylvia, cette merveille de goût et d’imagination, n’est plus jamais affichée à cause des vacances d’un soprano léger qui chantait L’Enlèvement, de Mozart.
Qu’on fasse attention aux raisons pour lesquelles les saints pères les ont si fortement condamnées, on verra que la principale qu’ils ont alléguée est, qu’elles sont une école d’impureté, à cause du mélange de jeunes personnes de différent sexe, et à cause de tout ce qui s’y dit, qui s’y fait, et qui s’y voit d’immodeste. […] C’est, par exemple, dit-il, de penser, lorsqu’on étoit à prendre ce plaisir de la danse, que plusieurs réprouvés brûloient dans l’enfer pour les péchés commis à la danse et à cause des danses ; que plusieurs religieux et personnes de piété étoient à la même heure devant Dieu, chantant ses louanges, et contemplant ses divines perfections ; et que leur temps a été par là bien mieux employé que celui qu’on a mis à danser ; qu’on a fait pitié à la sainte Vierge, aux anges et aux saints, lorsqu’ils ont vu que le cœur s’arrêtoit à ce plaisir si ridicule ; qu’enfin à mesure qu’on y a donné plus de temps, on s’est aussi plus approché de la mort qui mettra fin à tous ces plaisirs. » Je demande maintenant s’il est bien facile et bien ordinaire de s’appliquer, au retour de la danse, à toutes ces considérations, que saint François de Sales croit néanmoins nécessaires pour empêcher les funestes impressions du plaisir qu’on y a cherché et goûté ?
Dans un instant, Monsieur, je vous entretiendrai des deux causes qui s’opposent à la perfection de l’art pantomime, et dont les difficultés sont telles, que le tems et l’étudene pourront jamais les vaincre. […] J’ajouterai que je fis dans ma jeunesse un cours d’ostéologie ; il m’a été très utile dans mes leçons, soit en diminuant les longueurs de l’instruction, soit en jettant plus de clarté dans la démonstration des principes : cet art m’a enseigné à demêler les causes qui s’opposent à l’exécution de tel et tel mouvement ; et connoissant la partie osseuse de l’homme, les leviers et les charnières qui opèrent leurs jeux divers, je n’éxigeois pas de mes élèves ce que la nature ne vouloit pas, et je dirigeois mes leçons d’après un éxamen approfondi de la conformation de chacun d’eux.
Car dans son ensemble cet « hommage à Petipa » me cause un certain malaise.
Écouter devant un rideau baissé cause un certain malaise.
« On cause mieux à table. […] Cl… est cause qu’il ne vient plus.
Causes de la Décadence de l’Art La Danse honorée par Auguste fit les plus grands progrès, pendant le règne de cet empereur.
Sur ces entrefaites deux dames entrèrent dans la chambre qui servait de vestiaire et se dirigèrent droit vers le lit où, en désespoir de cause, on avait reposé le bébé.
Et en entreprenant décidément la « défense et l’illustration » de la danse classique je ne me crois pas faire le champion d’une cause perdue.
Et chaque épisode sonore, la rengaine vieillotte de l’accordéon grinçant, la petite fanfare aigrelette du pitre, ces entr’actes haletants, rythmés par le tambour brutal, — chaque épisode, dis-je, nous cause un plaisir aigu, unique.
Quelques-unes, nous devons le dire, ont résisté à ce despotisme, et ont gagné en appel la cause perdue devant le tribunal de première instance de messieurs les gants jaunes infernaux ; mais quelle force de volonté et quelle vertu ne faut-il pas avoir, quand on est actrice, pour ne pas abréger, même au prix d’une complète abdication de sa personne le fatigant chemin qui conduit au triomphe ! […] Sans parler de la cause de leur beauté, qu’elles plaident chaque soir devant la rampe, les actrices poussent souvent l’amour de la justice jusqu’à plaider à tout propos, et signent toujours dans leur désintéressement, moins de billets doux que de papiers timbres.
« Quiconque les premiers jours de Janvier & de Mai, suivant la coutume & superstition des Gentils, festoyera les calendes dudit mois de Janvier, à cause du nouvel an, ou la fête du premier Mai à cause du renouvellement du Printems, ou dressera la table dans sa maison, avec force viandes & lampes, ou cierges allumez, ou quiconque osera louer des Chantres ou Joueurs d’instrumens, & former des danses par les rues & les places publiques, qu’il soit excommunié & regardé comme un impie. » Néanmoins par succession de tems ces sortes de danses & les danses Sacrées ne laisserent pas de reprendre racine en France : l’abus s’en trouva si considérable, que les Evêques firent des constitutions Sinodales dans le douziéme siecle, pour les abolir autant qu’il fut possible ; comme nous le voyons par la constitution de Odon Evêque de Paris, qui fit un commandement exprès aux Curez & aux Prêtres de son Diocese, d’abolir l’usage des danses nocturnes, & d’en empêcher la pratique dans les Eglises, dans les Cimmetieres & aux Processions publiques. […] Quelques Auteurs ont crû qu’on leur donna le nom de Saliens, à cause du sel qu’ils jettoient dans le feu, qui sautoit & petilloit sur l’autel, lorsqu’on brûloit les victimes.
De ces danseuses cambodgiennes, que nous n’avions qu’entrevues, minuscules et distantes, sur le plateau de l’Opéra, il nous était resté, avec le souvenir d’une aventure prodigieuse, ce malaise salutaire que nous cause l’évidence bien nette de notre infériorité.
Et dans un autre endroit il dit que la Peinture cause une extrême satisfaction : la raison qu’il en rend, c’est qu’elle arrive si parfaitement à sa fin, qui est l’imitation, qu’entre toutes les choses qu’elle imite, celles mêmes que nous ne pourrions voir dans la nature sans horreur, nous font en peinture un fort grand plaisir ; il ajoute à cette raison que la peinture instruit, & qu’elle donne matiere de raisonner non seulement aux Philosophes, mais à tout le monde. […] On pourroit y ajouter la déclamation, à cause qu’elle est le nerf de la parole, & que sans elle on ne sçauroit bien représenter les mœurs & les actions des hommes, ce qui est cependant la fin de la Poésie ; l’exécution de la Peinture consiste dans le dessein, le coloris, & l’imagination. […] Je ne veux point ici obmettre une chose qui est en faveur de la Poésie : c’est que les épisodes font d’autant plus de plaisir dans la suite d’un Poëme, qu’elles y sont incréées & liées imperceptiblement ; au lieu que la Peinture peut bien représenter tous les faits d’une histoire par ordre, en multipliant ses tableaux ; mais elle n’en peut faire voir ni la cause ni la liaison. […] On entend par le mot de raisonnement, ou la cause & la raison par laquelle l’ouvrage fait un bon effet, ou l’action de l’entendement qui connoît une chose par une autre, & qui en tire des consequences. Si par le mot de raisonnement on entend la cause & la raison par laquelle l’ouvrage fait un bon effet, il y a autant de raisonnement dans la Peinture que dans la Poésie, parce qu’elles agissent l’une & l’autre en vertu de leurs principes.
Je puis, toutefois, vous assurer qu’elle a infiniment d’esprit… dans l’orteil, et qu’elle cause très agréablement… pour les yeux. […] Ne me demandez pas la cause de cette absence. […] Cause de cet éloignement : une phlébite déterminée par un accident assez commun chez ces demoiselles. […] La première eut jadis maille à partir avec l’administration pour cause de caquetage trop bruyant et de froufrou trop décolleté au foyer où, cependant, l’on ne se montre point par trop bégueule à cet endroit.
. — La cause de ses fréquents enrouements. — M.
« Quelques-uns reprenaient la coutume que Lycurgue avait introduite, que les filles, à certains jours de Fête, allassent par la Ville toutes nues, et lui en demandaient la cause ; afin, répondit-il, que faisant les mêmes exercices que font les hommes, elles n’eussent rien moins qu’eux, ni quant à la force et santé du corps, ni quant à la vertu et générosité de l’âme, et qu’elles s’accoutumassent à mépriser l’opinion du vulgaire ; d’où vient que la femme de Léonidas nommée Gorgo, répondit, à quelques Dames étrangères qui lui disaient : Il n’y a que vous autres Lacédémoniennes qui commandiez à vos maris : aussi n’y a-t-il que nous qui portions des hommes… Et était en ce temps-là l’honnêteté et la pudicité des Dames si éloignée de la facilité que l’on dit avoir été depuis parmi elles, que l’on tenait l’adultère pour une chose impossible et incroyable. » Plut.
On était encore dans le silence que cause une vive admiration, lorsqu’un second spectacle succéda au premier.
Détails sur Pylade et Bathylle On trouve dans le caractère particulier de chacun de ces deux hommes célèbres la cause première de la diversité de leurs compositions, et celle de leur sort, si différent l’un de l’autre, pendant tout le cours de leur vie.
Tant il est vrai que la Danse en action cause une émotion si vive, lorsqu’elle est habilement exécutée, que le Spectateur le plus éclairé est plus en état d’examiner, et ne peut s’occuper que du plaisir de sentir.
Voilà le principe de l’ennui que cause une trop grande quantité de récitatif. […] Le plaisir et l’ennui ont toujours des causes physiques : dans les arts agréables, le moyen sûr de procurer l’un et d’éviter l’autre, est de rechercher ces causes avec soin, et de se régler en conséquence lorsqu’on les a trouvées. […] On croit en avoir aperçu la cause, 1° dans son étendue, moindre que celle de la haute-contre et de la basse-taille : 2° dans l’espèce de ressemblance qu’elle a avec elles.
Cette différence dans les effets ne peut provenir que de deux causes. […] Voilà une des causes principales de la prédilection qu’on conserve pour les ouvrages de poésie, pour les tableaux, pour les spectacles qu’on connaît déjà.