En attendant, la vérité se trouvera écrite.
Un jour, à Londres, une de mes amies, se trouva à un dîner, placée auprès d’un très haut personnage de Chine.
Le goût fuit toujours les difficultés, il ne se trouve jamais avec elles : que les artistes les reservent pour l’étude, mais qu’ils apprennent à les bannir de l’exécution ; elles ne plaisent point au public ; elles ne font même qu’un plaisir médiocre à ceux qui en sentent le prix.
Ici, c’est, un grand ballet d’une longueur mortelle, le sujet en est beau et intéressant ; il prête à l’action pantomime, et est propre à faire naître une foule de tableaux d’autant plus séduisans, qu’ils sont variés à l’infini ; mais ce sujet fait pour séduire et pour émouvoir se trouve éclipsé par un corps de danses insignifiantes qui en coupe le fil, en rompt la trame, et n’offre plus à l’imagination que les lambeaux épars de la pièce.
Pour hâter les progrès de notre Art & le rapprocher de la vérité, il faut faire un sacrifice de tous les pas trop compliqués ; ce que l’on perdra du côté des jambes se retrouvera du côté des bras ; plus les pas seront simples & plus il sera facile de leur associer de l’expression & des graces : le goût fuit toujours les difficultés, il ne se trouve jamais avec elles ; que les Artistes les réservent pour l’étude, mais qu’ils apprennent à les bannir de l’exécution ; elles ne plaisent point au Public ; elles ne font même qu’un plaisir médiocre à ceux qui en sentent le prix.
Mes études se trouvent très mal de cette émigration annuelle, mes dispositions d’esprit en ressentent une fluctuation qui ôterait toute vue d’ensemble à mon travail ; votre jeune architecte me rendra donc grand service s’il marche vite, et je suis résolu à lui en savoir gré de toutes les manières.
Celui-ci, le soir de la répétition générale de la Révolte au Sérail, — les répétitions générales avaient lieu à huis clos et n’étaient pas, comme aujourd’hui, de vraies premières représentations, — celui-ci, disons-nous, qui n’était alors que général, se trouvait dans les coulisses, avec un de ses amis, le comte Courand.
Le peintre-décorateur, faute de connoitre parfaitement le drame, donne souvent dans l’erreur ; il ne consulte point l’auteur, mais il suit ses idées, qui, souvent fausses, s’opposent à la vraisemblance qui doit se trouver dans les décorations, à l’effet d’indiquer le lieu de la scène. […] Telle partie du tableau qui doit être éclairée, devient noire et obscure ; telle autre qui demande à être privée de lumière, se trouve claire et brillante.
Le Peintre décorateur, faute de connoître parfaitement le Drame, donne souvent dans l’erreur ; il ne consulte point l’Auteur mais il suit ses idées, qui souvent fausses s’opposent à la vraisemblance qui doit se trouver dans les décorations, à l’effet d’indiquer le lieu de la Scene. […] Telle partie du Tableau qui doit être éclairée devient noire & obscure ; telle autre qui demande à être privée de lumiere se trouve claire & brillante.
En tête de l’article qui lui est consacré se trouve ce couplet sur l’air : Restez, restez, troupe jolie : Jadis on voyait sur ses hanches Un simple jupon de tricot, Et, pour parure des dimanches, Un justaucorps en calicot. […] Toutes les danseuses, qui se trouvaient en scène, s’étaient enfuies, affolées de terreur.
Gardel, ce grand artiste m’a dit que pour connaître un bon danseur il fallait l’arrêter au moment d’une position, d’une attitude quelconque, et l’examiner : que l’œil même devait l’arrêter, pour ainsi dire, dans l’instant où il s’est enlevé, pour battre quelque Temps ; si alors cet artiste se trouve placé dans les vrais principes, et que son corps, ses bras, ses jambes forment un ensemble harmonieux, agréable et digne d’être dessiné, le danseur a réussi et mérite la palme.
Toute leur conduite est en général si peu ressemblante avec ce que nous regardons comme les manières d’être, adoptées dans la société, qu’on se trouve porté, presque sans le vouloir, à les regarder comme des espèces singulières ; ce n’est rien moins qu’à la raison qu’on attribue ce qu’on appelle leurs bizarreries ou leurs écarts, de-là tous les préjugés établis, et que l’instruction a bien de la peine à détruire.
Il peut arriver quelquefois que dans les sauts que la joie fait faire, il y ait quelque chose qui ne soit pas assez grave, relativement aux personnes et aux circonstances ; mais, dans les simples sauts, il n’y a rien de dangereux pour les mœurs ; et nous avons évidemment montré les dangers qui se trouvent dans les danses que nous condamnons, parce qu’elles se font avec des personnes de différent sexe, et avec des gestes et des attitudes peu modestes.
Cette faculté prodigieuse devoit nécessairement lui procurer cette aisance, et celle sécurité si essentielle au jeu de l’acteur, qui, dans le cas contraire, se trouve perpétuellement. embarrassé.
C’est là qu’elle étudie ses pas, deux ou trois heures par jour ; là aussi qu’à l’entendre, elle se trouve le plus heureuse.
Ou bien encore, il se trouve dans le fourneau un fumeron qui sauve la victime en la menaçant d’ôter à l’asphyxie tout ce qu’elle a de suave et de poétique. […] C’est ce qui explique comment l’Arthur de cette classe se trouve souvent convive de la Lorette. […] S’il arrive qu’elles égarent le premier volume, elles n’emploient plus dans leurs épîtres que les mots qui se trouvent orthographiés dans le volume qui leur reste.
Le pressentiment du Cardinal se trouva juste.
« Leurs premiers droits existent, indubitablement, vis-à-vis de la profession à laquelle ils appartiennent, et qui compte parmi ses membres des personnes aussi estimables que riches, dont je suis fière de connaître un grand nombre, et qui, par leurs remarquables talents, élèveraient toute position dans laquelle elles pourraient se trouver placées. […] Elle se trouva désemparée.
En lui disant qu’il l’aimait, il était complètement sincère, et son âme se trouvait d’accord avec ses lèvres.
et dans quelle position ses pieds se trouveroient-ils ?
Cette erreur naît de la précipitation avec laquelle le corps descend ; quoi qu’il en soit l’entrechat est fait lorsque le corps est parvenu à son degré d’élévation ; les jambes, dans l’instant imperceptible qu’il emploie à retomber, ne sont attentives qu’à recevoir le choc & l’ébranlement que la pesanteur de la masse leur prépare ; leur immobilité est absolument nécessaire ; s’il n’y avoit pas un intervalle entre les battements & la chûte, comment le Danseur retomberoit-il, & dans quelle position ses pieds se trouveroient-ils ?
» Mademoiselle Desmatins se trouvait si belle dans ses habits de reine ou de magicienne, qu’elle les gardait souvent après le spectacle.
« Mme de Mirbel a dû retirer les deux médaillons de l’exposition, afin que personne ne soupçonnât que l’héritier présomptif du trône de France et la reine de la danse avaient pu se trouver un instant enchâssés dans le même passe-partout sur le pied de l’égalité. » Le Charivari fait observer que des rois et des empereurs ont eu plus d’égards pour les actrices, Napoléon pour Mlles George et Duchesnois, le roi de Prusse pour Mlle Sontag, le tsar Nicolas pour Mlle Taglioni. […] De ce côté se trouvait Th.