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130. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre X. le coucher de l’astre  » pp. 365-413

Le travail terminé, les organisateurs furent pris de scrupules et crurent devoir demander au pape-roi l’autorisation d’offrir un diadème à une danseuse. […] « C’est ainsi, termine Louis Speidel, que le philologue, lorsque son texte s’arrête au passage qui promettait d’être le plus intéressant, pousse ce soupir : reliqua desiderantur. […] Les comptes réglés, elle exécutait un des pas qui l’avaient rendue célèbre et d’habitude le spectacle se terminait par une valse d’un mouvement vertigineux.

131. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur les machines de théâtre » p. 458

Il le distraira ensuite de ce spectacle par celui d’un temple auguste : toutes les parties de la belle architecture des anciens rassemblées dans cet édifice, formeront un ensemble majestueux ; et des jardins embellis par la nature, l’art et le goût, termineront d’une manière satisfaisante une représentation dans laquelle on n’aura rien négligé pour faire naitre et pour entretenir l’illusion.

132. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « IV. Le mastic et le chausson » pp. 36-53

Sachez d’abord qu’aux répétitions générales, le corps de ballet, dès que le divertissement est terminé, a le droit d’envahir les fauteuils de l’orchestre.

133. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre VI. » pp. 40-55

J’avois divisé cette entrée en six classes toutes dégradées ; chaque classe étoit composée de trois chasseurs et de trois chasseresses, ce qui formoit en tout le nombre de trente-six figurans ou figurantes : les tailles de la première classe traversoient la route la plus proche du spectateur ; celles de la seconde les remplaçoient en parcourant la route suivante ; et celles de la troisième leur succédoient en passant à leur tour sous la troisième route, ainsi du reste, jusqu’à ce qu’enfin la dernière classe composée de petits enfants, termina cette course, en passant sur le pont.

134. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE VI. » pp. 78-109

J’avois divisé cette entrée en six classes toutes dégradées ; chaque classe étoit composée de trois Chasseurs & de trois Chasseresses, ce qui formoit en tout le nombre de trente-six Figurants ou Figurantes ; les tailles de la premiere classe traversoient la route la plus proche du Spectateur ; celles de la seconde les remplaçoient en parcourant la route suivante ; & celles de la troisieme leur succédoient en passant à leur tour sous la troisieme route, ainsi du reste, jusqu’à ce qu’enfin la derniere classe composée de petits enfants termina cette course en passant sur le Pont.

135. (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre premier. Instructions générales aux élèves » pp. 19-39

[17] Je terminerai mes instructions par recommander aux jeunes élèves l’étude indispensable du dessin et de la musique ; rien ne sera plus utile à leur art.

136. (1757) Articles pour l’Encyclopédie « Sur la poétique du ballet et de l’opéra »

Le dernier divertissement, qui pour l’ordinaire termine l’opéra, paraît ne pas devoir être assujetti à cette règle aussi scrupuleusement que tous les autres ; ce n’est qu’une fête, un mariage, un couronnement, etc. qui ne doit avoir que la joie publique pour objet.

137. (1823) De l’art de la danse , considéré dans ses vrais rapports avec l’éducation de la jeunesse (3e éd.) « Des manières de civilités. » pp. 138-159

Nous ne terminerons point un ouvrage sur la danse sans répondre à la critique grossière de ceux pour qui un tel sujet a toujours trop d’importance, parce qu’ils jugent toujours du goût et des habitudes des autres d’après les leurs, pour qui la danse n’a aucun attrait et qui ne voient en elle qu’un plaisir brutal, frivole ou dangereux.

138. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome IV [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Iphigenie en Tauride. Ballet tragique » pp. 235-256

Diane paroît dans un nuage avec les attributs de sa divinité ; si c’est une licence, elle m’est d’autant plus permise, que le poëte Grec termine son Iphigénie par l’arrivée céleste de Minerve.

139. (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Histoire generale de la danse sacrée et prophane : son origine, ses progrès & ses révolutions. — Chapitre V. De l’usage de la Danse grave & sérieuse, convenable aux Bals de cérémonie. » pp. 112-145

L’on peut présumer encore que l’usage en est aussi ancien que celui des festins, dont le bal termine ordinairement la fête : comme il est dit dans l’Exode, que le peuple s’assit pour boire & pour manger, & se leva pour se divertir, c’est-à-dire pour danser, comme nous le voyons encore pratiquer aujourd’hui.

140. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Première partie.] — Chapitre VI. Témoignage d’Auteurs et de Ministres protestans contre les Danses. » pp. 72-93

Les choses saintes se doivent traiter par des moyens saints et légitimes ; et celui qui veut faire une bonne œuvre, la doit commencer sur de meilleurs fondemens. » Tout le traité est terminé par une conclusion énergique et pressante, dont voici quelques traits : « Et c’est pour toutes ces raisons que nous exhortons nos églises à chasser et reléguer ces mauvaises coutumes aux enfers, dont elles sont venues, aux solennités des idoles, à une cour d’Hérode, enfin, aux lieux de débauches ; car, dans un si grand nombre de raisons de les juger toutes indignes de notre profession, il n’y en a pas une seule qui nous doive engager à les supporter comme choses indifférentes, et sous prétexte d’aucun profit public ou particulier.

141. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre IV. le ballet a l’opéra vers 1830  » pp. 129-155

De même qu’elle avait quitté Barrez, elle quitta Vestris, qui ne s’en consola point, pour terminer son apprentissage sous la direction de Philippe Taglioni.

142. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — LETTRE XII. » pp. 157-180

Le danseur, par la même raison, doit se servir de tous les doigts de ses pieds, comme d’autant de branches dont l’écartement sur le sol augmentant l’espace de son appui, affermit et maintient son corps dans l’équilibre juste et convenable ; s’il néglige de les étendre, s’il ne mord en quelque façon la planche pour se cramponner et se tenir ferme, il s’ensuivra une foule d’accidens, le pied perdra sa forme naturelle ; il s’arrondira et vacillera sans cesse et de côté, du petit doigt au pouce, et du pouce au petit doigt : cette espèce de roulis occasionné par la forme convexe que l’extrémité du pied prend dans cette position, s’oppose à toute stabilité ; les chevilles chancélent et se déplacent ; et vous sentez, Monsieur, que dans le tems où la masse tombera d’une certaine hauteur, et ne trouvera pas dans sa base un point fixe capable de la recevoir et de terminer sa chûte, toutes les articulations seront blessées de ce choc et de cet ébranlement ; et l’instant où le danseur tentera de chercher une position ferme et où il fera les plus violens efforts pour se dérober au danger, sera toujours celui où il succombera, soit ensuite d’une entorse, soit ensuite de la rupture de la jambe ou du tendon.

143. (1760) Lettres sur la danse et sur les ballets (1re éd.) [graphies originales] « LETTRES SUR LA DANSE. — LETTRE XII. » pp. 315-361

Le pied perdra sa forme naturelle, il s’arrondira & vacillera sans cesse & de côté, du petit doigt au pouce, & du pouce au petit doigt : cette espece de roulis occasionné par la forme convexe que l’extrêmité du pied prend dans cette position, s’oppose à toute stabilité ; les chevilles chancellent & se déplacent ; & vous sentez, Monsieur, que dans le temps où la masse tombera d’une certaine hauteur, & ne trouvera pas dans sa base un point fixe capable de la recevoir & de terminer sa chûte, toutes les articulations seront blessées de ce choc & de cet ébranlement ; & l’instant où le Danseur tentera de chercher une position ferme, & où il fera les plus violents efforts pour se dérober au danger, sera toujours celui où il succombera, soit ensuite d’une entorse, soit ensuite de la rupture de la jambe ou du tendon.

144. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « V. Pastels après décès. » pp. 54-87

Celui-ci, pour obéir à cette injonction, s’étant rendu au For-l’Évêque, y tomba au milieu d’un joyeux souper que mademoiselle Dorival terminait avec des amis.

145. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Discours préliminaire. » pp. -

Quiconque n’auroit point d’yeux ni d’oreilles, quiconque pourroit assister à des danses sans y entendre rien, et sans y rien voir des sottises qui s’y passent, et qui au contraire auroit assez de force d’esprit pour n’y être occupé que de Dieu, pourroit innocemment se trouver à la danse, qui est une pierre de scandale à toutes les autres personnes ; encore faudroit-il que cela se pût faire sans désobéir à ses pasteurs légitimes, et sans donner mauvais exemple à son prochain ; mais puisque les paysans n’ont pas cette vertu, puisqu’ils sont pleins de passions, et que les danses servent à animer ces passions et à les rendre plus violentes, puisque ces assemblées ne se terminent jamais sans crime, puisqu’un seul débauché peut inspirer ses mauvais désirs à ceux qui le regardent, et qu’en effet il s’y dit des choses qu’on ne doit pas entendre, et qu’il s’y fait des choses qu’on ne doit pas voir, il est de la prudence des pasteurs de s’opposer à des danses, qui, dans la pratique, sont toujours dangereuses et corrompues, quelles qu’elles soient dans des précisions métaphysiques et dans la spéculation.

146. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome I [graphies originales] « Lettres sur la danse. — Lettre quinzième et dernière. » pp. 216-240

Après plusieurs pas particuliers qui peignent l’enjouement et la volupté, le ballet est terminé par une contre-danse générale.

147. (1845) Notice sur Le Diable boiteux pp. 3-31

— car l’Oriente n’est pas encore terminé, — ou bien encore la salle que Philippe IV avait fait élever au milieu de la grande pièce d’eau du Buen Retiro ?

148. (1841) Physiologie de la lorette pp. -127

Dans sa vie, elle commence à broder une descente de lit, un porte-cigares, une pantoufle, une demi-paire de bretelles, mais personne ne peut témoigner qu’aucun de ces ouvrages ait jamais été terminé. […] Elle termine la scène par un évanouissement.

149. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre premier. les années d’apprentissage  » pp. 1-36

L’année 1823 se termina par la défaite définitive des Allemands.

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