Dans ce même Poème à la fin du troisième Acte, lorsque l’inflexible Dieu de la guerre a dit : Un vain respect ne peut me plaire : On ne satisfait Mars que par de grands exploits : Vous que l’Enfer a nourries, Venez cruelles Furies, Venez briser l’Autel en cent morceaux épars.
Jamais elle n’avait songé qu’elle eût à se repentir d’être danseuse, et qui sait si, la veille de son début, dans son désir de bien faire, il ne lui était pas échappé de demander à Dieu la grâce de réussir le lendemain ?
grand Dieu ! […] Madame Alexis Dupont C’était la sœur de Lise Noblet et la femme du chanteur à la voix blanche que vous savez… Le soir, madame Alexis Dupont se trémoussait fort agréablement, à l’Opéra, dans la Muette, dans le Lac des Fées, dans le Dieu et la Bayadère, dans l’Orgie et dans ce pas de cinq du deuxième acte de Robert qui fut supprimé depuis… Dans la journée, elle enseignait les danses de caractère et le maintien à toute sorte de jeunes demoiselles des meilleures maisons. […] Mademoiselle Louise Fitz-james On lit dans la France musicale du 31 juillet 1842 : « Mademoiselle Fitz-James, qui avait débuté avec succès, il y a dix ans, — 1er octobre 1832, — dans les Pages du duc de Vendôme et qui semblait avoir recueilli, dans le Dieu et la Bayadère, l’héritage direct de mademoiselle Taglioni, cesse d’appartenir au corps de ballet de l’Opéra.
Une partie du jour s’emploie à louer Dieu, et l’autre aux passe-temps honnêtes.
Et Dieu sait ce qu’elle a brûlé de cierges pour que « la petite » réussît, quand il s’est agi pour celle-ci de reprendre le rôle de l’abbesse, dans Robert ! […] Le père y était, je crois, musicien à l’orchestre ; le fils y tient un second ou un troisième violon ; la fille y danse, — depuis douze ans, — avec beaucoup de légèreté, et Dieu sait avec quelle chaleur, quel amour et quelle conviction !
Ensuite, et presque malgré moi, je murmurai : — Dieu, que c’est beau, et quelle vue merveilleuse on a de ces fenêtres !
« Après avoir reçû cette année tant de victoires du Ciel, ce n’est pas assez de l’avoir remercié dans les Temples, il faut encore que le ressentiment de nos cœurs éclate par des réjouissances publiques : C’est ainsi que l’on célebre de grandes Fêtes ; une partie du jour s’emploie à louer Dieu, & l’autre aux passe-tems honnêtes. […] Mais Venus fit remarquer à Mercure que ce Dieu souterrain craignant que les Démons qui l’accompagnoient ne sçussent pas garder tout le respect du aux beautez de Proserpine, avoit emprunté six Amours qu’elle avoit fait vétir de sa livrée, pour favoriser cet enlévement.
Que de moi Dieu dispose comme il lui plaira. […] « Car précieux sont les moments que seul un Dieu nous donne et nous enlève. […] Il écrit à Rahel, le 8 juillet 1831 : « Ce bonheur inexprimable, le seul que j’aie sauvé d’un grand naufrage, ce n’est pas à moi que je le dois, mais à elle, ou plutôt au ciel qui l’a créée telle qu’elle est, et qui l’a mise sur mon chemin. » Le 31 août suivant, il dit à Fanny : « C’est Dieu qui nous a menés l’un à l’autre ; lui seul peut nous séparer. » Ces mots terminent un billet particulièrement passionné dans lequel il a dit à sa maîtresse qu’il a, depuis quelque temps, essayé de l’aimer un peu moins. […] Quand il parlait de Dieu, du ciel, de la destinée, n’étaient-ce pas tout simplement les prouesses oratoires d’un rhéteur qui n’avait que cette ressource-là pour s’attacher un cœur naïf et chez qui la phrase masquait la passion absente ?
Le Dieu s’approche de plus près, il agite ses ailes ; l’air frais et délicieux qu’elles répandent autour de la bergère semble lui donner un nouvel être.Elle se retourne en soupirant et elle apperçoit l’Amour ; dans sa surprise, elle hésite, et ne sait si elle doit rester ou fuir ; un charme enchanteur la retient ; elle considère avec l’admiration du plaisir l’enfant dangereux ; il est le plus beau et le plus touchant qu’elle ait vu de sa vie ; ses cheveux bouclés d’où l’ambroisie s’exhale, ses ailes dorées qui couvrent ses épaules d’albâtre, son petit arc, ses flèches, son carquois, tout attache ses regards, tout fixe son attention, et la sensibilité succède bientôt à l’admiration : elle serre tendrement dans ses bras l’aimable enfant, et elle se sent animée par un sentiment qui lui est inconnu ; elle ne vent plus enfin quitter l’Amour, et la crainte qu’elle a qu’il ne lui échappe, lui fait naître l’idée de lui couper les ailes. […] Philis touchée par les larmes de l’Amour ne peut résister à ses prières ; ses ailes sont conservées ; mais par un caprice nouveau elle en arrache une plume. l’Amour jette un cri, et Philis, après s’être orné le sein de cette plume fatale, passe autour du cou du petit Dieu un ruban, et le mène en laisse en jouant avec lui et en lui prodiguant d’innocentes caresses.
Il dit entre autres que les Juifs célébrerent une fête de réjouissance publique, qui consistoit en festins & en danses, pour remercier Dieu & marquer leur joie de la levée du siége de Béthulie, que Holopherne Général de l’armée des Assiriens tenoit assiégée, à qui Judith par une inspiration divine alla couper la tête dans son lit : après cette action mémorable, les Magistrats de la Ville menerent Judith en pompe au bal où la fête étoit préparée ; elle y dansa la premiere comme la Reine du bal.
Dieu fauorisera mon intention de la grace que ie luy demanderay, qu’il ne refuse iamais aux iustes requestes comme sera la mienne.
au nom du Dieu de l’harmonie dont tu es le favori, viens nous consoler et guérir par les accens touchans de la mélodie nos oreilles impitoyablement déchirées.
… Le voici enfin dans cet état comparable à la flamme, au milieu des échanges les plus actifs… On ne peut plus parler de « mouvement »… On ne distingue plus ses actes d’avec ses membres… Cette femme qui était là est dévorée de figures innombrables… Ce corps, dans ses éclats de vigueur, me propose une extrême pensée : de même que nous demandons à notre âme bien des choses pour lesquelles elle n’est pas faite, et que nous en exigeons qu’elle nous éclaire, qu’elle prophétise, qu’elle devine l’avenir, l’adjurant même de découvrir le Dieu, — ainsi le corps qui est là, veut atteindre à une possession entière de soi-même, et à un point de gloire surnaturel… Mais il en est de lui comme de l’âme, pour laquelle le Dieu, et la sagesse, et la profondeur qui lui sont demandés, ne sont et ne peuvent être que des moments, des éclairs, des fragments d’un temps étranger, des bonds désespérés hors de sa forme… PHÈDRE Regarde, mais regarde !
Enfin, en 1830, dans le Dieu et la Bayadère, la chrysalide se révéla si brusquement papillon, qu’à l’issue de la première représentation, quand le régisseur Solomé s’avança pour proclamer les auteurs, — MM. […] Le docteur-directeur Véron l’a raconté ainsi : « A la suite de l’admirable trio qui sert de dénoûment, Bertram devait se jeter seul dans une trappe anglaise pour retourner vers l’empire des morts ; Nourrit, converti par la voix de Dieu, par les prières d’Alice, devait, au contraire, rester sur la terre pour épouser enfin la princesse Isabelle ; mais cet artiste passionné, entraîné par la situation, se précipita étourdiment dans la trappe à la suite du dieu des enfers.
Les mots d’imagination, de génie, d’esprit, de talent, ne sont que des termes trouvés pour exprimer les différentes opérations de la raison : il en est d’eux à-peu-près comme des divinités inférieures du paganisme : elles n’étaient aux yeux des sages, que des noms commodes pour exprimer les divers attributs d’un Dieu unique ; l’ignorance seule de la multitude leur fit partager les honneurs de la divinité.
Ce Dieu lui conseilla de partir pour Athènes ; et il s’y transporta pour plaider sa cause devant Minerve.
Que Dieu vous conserve vos parents !
Elle y débuta le 18 octobre 1842 dans le Dieu et la bayadère. […] Tous les abris que Dieu nous a prêtés se sont évanouis en vapeurs de brouillards.
Les hommes chantèrent donc d’abord les louanges et les bienfaits de Dieu, et ils dansèrent en les chantant, pour exprimer leur respect et leur gratitude.
Ce dernier sans doute avait mis la main sur un joli sujet, lorsque, d’une ballade de Gœthe, il tirait Le Dieu et la Bayadère, dont Auber écrivait la musique.