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86. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre II. la dernière passion du chevalier frédéric de gentz  » pp. 37-96

En société il ne se sentait à l’aise que lorsqu’il était entouré de figures connues ; un étranger, un visage qui lui déplaisait, ou seulement une moustache le rendaient taciturne. […] A cette première visite, Fanny séduisit sa nouvelle amie plutôt par l’harmonie de tout son être et par l’expression de son visage que par le détail de sa beauté.

87. (1803) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome II [graphies originales] « Lettre XX et dernière. » pp. 213-241

Mais poursuivons ; dans l’instant où tout le inonde se livre à l’expression d’une joye vive et pure, que les tables sont servies, que l’on boit, mange, que l’on chante, il paroit sur une colline qui termine le fond de la décoration une troupe de bandits ou de miquelets, qui, suivant leur coutume, se eouvroient le visage d’un masque de velours noir, non pas pour danser comme jadis à l’opéra, mais pour commettre leurs vols sans courrir les risques d’être reconnus.

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