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168. (1724) Histoire générale de la danse sacrée et profane [graphies originales] « Paralele. DE. LA PEINTURE. ET DE. LA POESIE. » pp. 213-269

Si la Poésie augmente le plaisir par la variété des épisodes & par le détail des circonstances, la Peinture peut en représenter tant qu’on voudra, & entrer dans tous les événemens d’une action, en multipliant ses tableaux ; & de quelque maniere qu’elle expose ses ouvrages, elle ne fait point languir son spectateur : le plaisir qu’elle donne est donc plus vif que celui de la Poésie. […] Enfin ces ouvrages & les peintures anciennes dont on vient de parler, sont les sources de l’érudition la plus assurée ; & c’est de-là que nous voyons dans un grand nombre de sçavans cette vive curiosité des médailles, des pierres gravées, & de tout ce qui, dans les beaux Arts, porte le caractere de l’antiquité.

169. (1804) Lettres sur la danse, dernière édition augmentée en 4 vol. Avec les programmes de ballet. Tome III [graphies originales] « [Programmes de ballets] — Les Graces. Ballet anacréontique. » pp. 75-97

elles avancent ; les larmes et les prières de l’amour remplissent leur ame de l’émotion la plus vive, elles se préparent à lui rendre la liberté.

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