Ajoutez (et cela aussi est la pure vérité) que ma santé même en souffre. » Cette « grande lettre de Presbourg », comme disait Rahel, grandis epistola, demande qu’on s’y arrête. […] La légende renferme une petite part de vérité : il est établi que le prince de Metternich comptait sur les femmes pour étouffer chez le duc de Reichstadt des rêves dangereux.
Il me sera facile de faire sentir et de démontrer cette vérité.