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2. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre X. Neuvième et dernière objection : Défendre les Danses, c’est peine perdue. » pp. 208-214

Mais on regarde comme un très-grand gain celui d’une seule ame rachetée par le Sang de Jésus-Christ ; et dût-on ne retirer pour fruit de son travail que le gain de cette ame, on s’en croiroit bien récompensé. […] D’ailleurs, nous savons que Dieu nous demande notre travail, et non le fruit de ce travail dont nous ne sommes pas les maîtres. […] Le ministre, chargé de planter et d’arroser, ne sait pas si son travail réussira, parce que c’est Dieu qui donne l’accroissement à ce qui est planté et arrosé : mais il n’est pas douteux que si le ministre ne travaille pas, il ne pourra pas recueillir ce qu’il n’aura pas semé.

3. (1924) La danse au théâtre. Esthétique et actualité mêlées « 1er janvier 1923. Carte de visite. »

Et l’on pourrait, en matinée, distribuer aux jeunes qui promettent des rôles dépassant leur emploi ; cela serait un concours permanent qui stimulerait le travail. […] Dès lors, l’école de danse fournirait à tous les théâtres subventionnés un personnel soigneusement éduqué et tenu de continuer un travail régulier sous le contrôle effectif de l’Académie Nationale.

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