Je ne puis m’empêcher d’ajouter à ce qu’on vient d’entendre de saint Jean Chrysostôme, ce qu’on écrit contre les danses qui se font aux noces, les ministres protestans, du traité desquels j’ai fait plus haut l’analyse.
Tertullien commence son traité du voile que les vierges doivent porter, par ce principe, « que rien ne peut prescrire contre la vérité, ni la longueur du temps et la succession des années, ni la qualité des personnes qui autorisent certains usages, ni les priviléges particuliers des pays. […] Par un terrible, mais très-juste châtiment de Dieu, on est traité selon les désirs déréglés de son cœur : on craint et on fuit la lumière de la vérité, et elle se cache.