Et c’est dans l’intimité du théâtre Mogador, moins solennel, que nous pûmes goûter véritablement cette « chorégraphie de chambre » dont Les Femmes de Bonne Humeur et Le Spectre sont de bien attrayants exemples.
Ce n’est pas, cependant, entre les danses de jadis et celles d’aujourd’hui qu’était partagé le programme, mais plutôt entre la danse de théâtre et celle de salon.