Le docteur-directeur Véron l’a raconté ainsi : « A la suite de l’admirable trio qui sert de dénoûment, Bertram devait se jeter seul dans une trappe anglaise pour retourner vers l’empire des morts ; Nourrit, converti par la voix de Dieu, par les prières d’Alice, devait, au contraire, rester sur la terre pour épouser enfin la princesse Isabelle ; mais cet artiste passionné, entraîné par la situation, se précipita étourdiment dans la trappe à la suite du dieu des enfers. […] Mars avait Célimène ; Dorval eut Kitty-Bell, Marion Delorme et Adèle d’Hervey ; la Sylphide voulut dire Taglioni, de même que, dans la suite, Giselle signifia Carlotta. […] Il avoua — dans la suite — que le portefeuille ne renfermait que des billets de loterie. […] Il était, il est vrai, rentré à l’Opéra ; mais à la suite et comme appoint de la jeune femme.
Les Euménides et leur suite s’y précipitent, et l’Amour vainqueur des Enfers, fend les airs et disparoît avec sa conquête. […] Les Jeux, les Plaisirs et les Nymphes de la suite de Vénus composent la cour élégante de cette divinité.