Mais plutôt, le monde y règne, et ses gaîtés y sont nourries de toute sorte de licence. » chapitre VI.
Un des morceaux de ce journal en vers est une sorte d’imitation du psaume Nunc dimittis, Domine, où Rückert dit : « Maintenant je puis en paix gagner la tombe, puisque j’ai vu ce qu’il y a de plus sublime au monde ; j’ai vu les jambes de la divine Fanny s’élever jusqu’au ciel. […] Les Italiens s’étaient donné le mot d’ordre pour renoncer à l’usage du tabac et tarir de la sorte une importante source de revenus du fisc autrichien.