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75. (1908) Quinze ans de ma vie « Quinze ans de ma vie — XV, quelques souverains » pp. 160-177

Le soir de mes débuts, la reine et la princesse Clémentine étaient dans la loge royale. […] En arrivant à une matinée, un jeudi, je vis devant l’Hippodrome toute une file de voitures qui avaient particulièrement grand air, et toutes timbrées à l’écu royal.

76. (1820) Traité élémentaire, théorique et pratique de l’art de la danse « Chapitre huitième. Danseur sérieux, danseur demi-caractère. Danseur comique » pp. 88-95

Dans l’un des journaux de Paris qui parlait de mes débuts à l’Académie royale de musique, dans le genre sérieux, on disait, à l’égard de ce genre de danse : « Depuis longtemps la danse noble et sérieuse est singulièrement dédaignée ; je ne conçois guères en effet que l’on puisse danser sans être gai.

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