Le soir de mes débuts, la reine et la princesse Clémentine étaient dans la loge royale. […] En arrivant à une matinée, un jeudi, je vis devant l’Hippodrome toute une file de voitures qui avaient particulièrement grand air, et toutes timbrées à l’écu royal.
Dans l’un des journaux de Paris qui parlait de mes débuts à l’Académie royale de musique, dans le genre sérieux, on disait, à l’égard de ce genre de danse : « Depuis longtemps la danse noble et sérieuse est singulièrement dédaignée ; je ne conçois guères en effet que l’on puisse danser sans être gai.