Tout, dans le danseur, devient fonction de ce jeu divin des formes et des lignes, des droites et des courbes, de cette mélodie continue où un thème plastique s’enchaîne à un autre avec une fécondité inépuisable — ce qui fait que le pas d’une étoile est plus riche en variantes de composition et de mouvement, plus lourd de significations idéales qu’un musée de sculpture.
La danse plus riche en hommes nous offroit le Grand Dupré ; je dis grand, parce qu’il l’étoit de taille, et qu’un autre Dupré étoit bien plus petit que lui sous tous les rapports.