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102. (1887) Ces Demoiselles de l’Opéra « V. Pastels après décès. » pp. 54-87

Cet accident obligea mademoiselle Allard à quitter un instant Paris. » On raconte qu’en 1767, un seigneur allemand, fort riche, voulut épouser cette artiste, et que sur le refus qu’il en reçut, il signifia à celle-ci qu’il en était réduit à se brûler la cervelle, mais qu’il irait d’abord la lui brûler à elle-même.

103. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VIII. victoires et revers  » pp. 262-319

Cette église, tout récemment achevée, à deux pas de l’Opéra, était selon l’esprit et le goût d’un quartier de bourgeois riches qui menaient de front le luxe, les plaisirs et la dévotion. […] Si la somme d’argent qu’elle retirera de cette soirée était égale à la somme de plaisir qu’elle a causé, Fanny Elssler serait plus riche que tous les banquiers ensemble.

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