Une danseuse y avait fait briller, aux débuts du dix-neuvième siècle, son talent et sa beauté ; c’était l’Espagnole Maria Medina, femme de Vigano, le grand chorégraphe que ses contemporains regardaient comme un homme de génie.
C’est encore à la sylphide que songeait Méry quand il disait : Regardez-la courir !