Ces deux hommes rares ne furent point remplacés ; leur art ne fut plus encouragé par le gouvernement, et il tomba dans une dégradation sensible depuis le règne d’Auguste jusqu’à celui de Trajan, où il se perdit tout à fait.
Enfin Véron fut toujours à la chasse de cet oiseau rare : « l’artiste jeune et belle, qui danse mieux et autrement que celles qui l’ont précédée ».