Nous ne terminerons point un ouvrage sur la danse sans répondre à la critique grossière de ceux pour qui un tel sujet a toujours trop d’importance, parce qu’ils jugent toujours du goût et des habitudes des autres d’après les leurs, pour qui la danse n’a aucun attrait et qui ne voient en elle qu’un plaisir brutal, frivole ou dangereux.
C’est en vain qu’il les questionne sur leur nom, leur naissance, leur emploi, leur patrie ; les deux Princes ne lui répondent que pour lui demander la mort.