Il est bien rare que l’auteur d’un ballet fasse œuvre de poète.
Avant d’esquisser une psychologie sommaire de la danseuse, de dire quelle hantise exercent sur elle les sept péchés capitaux, les vertus théologales, les défauts et qualités d’ordre secondaire, l’opinion des poètes et des mondains, des initiés et des ignorants, il faut expliquer en quelques lignes l’organisation du corps de ballet. […] Mais les compliments de poètes ! […] Et pour elles je propose cette épitaphe qu’un poète de l’anthologie grecque composa en l’honneur d’une de leurs aïeules : Ô terre, ne pèse pas sur elle !