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132. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre III. l’opéra de paris sous la direction véron  » pp. 97-128

Journaliste lui-même, il recruta sans peine des mercenaires qui se firent, en échange de quelques louis ou simplement d’un bon dîner, ses thuriféraires attitrés, ses « matassins », les exécuteurs de ses hautes et basses œuvres.

133. (1841) Physiologie de la lorette pp. -127

Le mortier est un écho des peines et des joies de l’âme du pharmacien ; il faut être initié à son langage : quand il est compris, il efface en harmonie le couplet de facture du vaudevilliste et le langage fleuri de la basoche. […] A peine ce vœu est-il formé, que la dame de la maison place sur la table la gravure de l’Amour et Psyché, et s’écrie : — A six francs l’Amour et Psyché.

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