Les Temples, les Rues, les Places publiques, les Maisons des Particuliers ne retentissaient que de gémissements. […] Les Danses particulières de l’Hymen, qu’on exécutait dans les mariages, étaient à peu près les mêmes que celles qui terminaient cette Fête solennelle.
On entendait par Quadrille, non seulement quatre, mais six, huit, et jusqu’à douze Danseurs vêtus uniformément, ou même de caractères différents, qui formaient des troupes particulières, lesquelles se succédaient, et faisaient ainsi succéder le cours de l’action. […] Leur variété, leur harmonie, leur son particulier paraissait ainsi changer la Scène, et donner à chacun des Danseurs la physionomie du Personnage qu’il devait représenter.