Le Public en jouit ; mais les Particuliers effrayés de la somptuosité que tous ces Princes avaient répandue dans ces Fêtes superbes, n’osèrent plus se procurer dans leurs maisons de semblables amusements. […] Ceux de l’Opéra ont fait tomber tous ceux des Particuliers, et on sait qu’il n’est plus du bon air d’y danser.
Chacune de ces actions a des beautés ou des agréments qui lui sont particuliers, et le charme qui en résulte dépend de la manière seule de les traiter.