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119. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VIII. victoires et revers  » pp. 262-319

Puis son enthousiasme s’avive, l’ensorcellement est complet et bientôt l’on n’entend plus que des paroles d’extase et de glorification. […] Cédons la parole au maître : « La danse de Fanny Elssler s’éloigne complètement des données académiques, elle a un caractère particulier qui la sépare des autres danseuses ; ce n’est pas la grâce aérienne et virginale de Taglioni, c’est quelque chose de beaucoup plus humain, qui s’adresse plus vivement aux sens.

120. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre III. l’opéra de paris sous la direction véron  » pp. 97-128

Mais, pour le maître souverain qui a fait tomber la pluie d’or, il n’y a jamais une parole de blâme, jamais une réserve.

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