Elle s’arrêtait, parce que son père était souffrant. […] Son père était gravement indisposé. […] Mon père, car j’appelais ainsi M. […] Mon père est obligé de céder après avoir épuisé les injures, les reproches et les menaces. […] On lui dit que c’étaient mon père et moi.
D’abord, c’est une obligation indispensable pour les pères et mères d’empêcher, autant qu’ils le peuvent, leurs enfans d’aller aux danses. […] On est indigne du nom de père et de mère, lorsqu’après avoir enfanté des fils et des filles pour le siècle présent, on les laisse, par une molle et excessive indulgence, périr pour le siècle futur. […] A combien de plus grands dangers les pères et mères exposent-ils la pureté de leurs enfans, en les laissant aller aux danses, où tout ce qu’on voit et ce qu’on entend n’est propre qu’à corrompre ? […] Il est tiré d’un sermon de ce père sur l’endroit de saint Mathieu, c. 25, où il est parlé du serviteur paresseux, qui fut condamné pour n’avoir pas mis à profit le talent qui lui avoit été confié. […] « Vous venez, dit ce père, de voir dans ce qu’on nous a lu de l’Evangile, quelle est la récompense des bons serviteurs, et la punition des mauvais.