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118. (1623) Apologie de la danse et la parfaite méthode de l’enseigner tant aux cavaliers qu’aux dames [graphies originales] « Methode povr les cavaliers. » pp. 25-51

Apres auoir tiré le chapeau de la main droite qu’il portera negligemment, non sur la cuisse comme on souloit faire, ains deuant le busque du pourpoint sur la main gauche pour laisser l’autre libre, regardant d’vn visage riant la compagnie, qu’il s’aduance, mais auec des demarches graues & sans contrainte, & lors que sa discretion luy fera iuger le temps de faire la reuerance, sans plier les genoux, qu’il coule doucement la iambe droite deuant iusque à ce qu’elle touche quasi la gauche, & sans s’arrester que bien peu la dessus, la pointe des pieds fort ouuertes en pliant doucement l’vne & l’autre, il desgagera comme insensiblement la gauche, & continuëra ainsi iusqu’à ce qu’il ait ioint ceux qui l’y obligent, que s’il se trouuoit, comme il est ordinaire, plusieurs compagnies en vn mesme lieu, il fera ces mesmes reuerences sur l’vn & sur l’autre pied, selon que les personnes seront placees, toutesfois sans aucun geste ou posture du corps : car en cela la seule conduite de la veuë est suffisante.

119. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre III. l’opéra de paris sous la direction véron  » pp. 97-128

D’abord obscur collaborateur du Conservateur littéraire, fondé par Abel Hugo, où Victor Hugo publia ses premiers vers, il ne jeta pas plus d’éclat, lorsqu’il devint un des rédacteurs ordinaires de la Quotidienne de Michaud.

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