Il est vrai que les curés qui ne se font point de scrupule d’être présens aux danses de leurs paroissiens, prétendent excuser une conduite si peu pastorale et si opposée à toutes les règles, en disant que leur présence peut servir à arrêter des libertés criminelles qui s’y prendroient, et bien des péchés qui pourroient s’y commettre si leur présence ne retenoit pas ceux qui dansent. […] Quand on est chargé de la conduite des autres, on ne doit pas se borner à n’empêcher que les plus grands maux ; on doit encore s’opposer, autant qu’on le peut, à tous. […] Si donc un curé, qui a des lumières et du zèle, désire bien sincèrement de s’opposer aux maux sans nombre et très-grands qui naissent des danses, quel parti prendra-t-il ?
Quant aux autres Balancez que l’on porte en devant à la quatriéme position : par exemple, si vous le commencez du pied droit, le bras droit qui est devant, s’étend en prenant son mouvement de haut en bas, & le bras gauche se tournant en dessous, se plie & s’oppose au pied droit en revenant de bas en haut ; ce qui est le mouvement contraire de l’un à l’autre ; mais au second demi coupé la tête se tourne un peu du côté droit, puis se baisse doucement, & se releve de même ; ce qui accompagne ce pas, puisque dans le tems que vous vous relevez sur le pied gauche, la tête se releve aussi & fait voir un accord parfait de l’un avec l’autre.