Robinet, lettre du 21 juillet 1668 Dans le PARC de ce beau VERSAILLE, Qui n’est pas un Lieu de Broussaille, Mais le Palais le plus riant Où, du Couchant à l’Orient, Les claires et pure Naïades, Les gaies et vertes Dryades, La jeune Flore et les Zéphirs, Les Amours, les Jeux, les Plasirs, Les Labyrinthes, la Verdure, L’Art, en un mot, et la Nature Fassent par leurs beaux Agréments Le doux charme de tous les Sens ; Là, dis-je, où le Ciel à la Terre Ses plus chères faveurs desserre, On vit, Lundi, ce que les yeux Ne peuvent voir que chez les Dieux, Ou chez LOUIS, qui les égale Dedans la pompe d’un Régale.
Lemot… Tout homme qui a un succès immense dans sa nation est remarquable aux yeux du philosophe. […] En 1790, Viganò regagna l’Italie et fit paraître aux yeux des Vénitiens, sur la scène du San Samuele dont son père était l’impresario, toutes les grâces de la technique française. […] Malgré sa complexité, sa variété infinie, ce premier acte se déroulait pour la joie des yeux. […] « C’est en vérité un très beau tableau de l’Albane que nous avons devant les yeux : la céleste peinture de l’âge d’or. […] Un visage agréable, des yeux intelligents, une grande expression de bonté et de douceur.