La Nijinska tire des groupes nouveaux et drôles de la danse populaire russe, la danse « accroupie », dans les Trois lvans ; mais je considère la Shéhérazade, de Mlle Dalbaïcin, ponctuant de ses talons le rythme de Tchaikovsky un hors-d’œuvre qui ébranle l’ensemble.
Des épisodes charmants, tel le Chaperon rouge, confié à des exécutants de deuxième plan, agrémenté de nouveaux jeux de scène « amusants », tombent à plat.