J’ai à vous nommer maintenant le peuple qui aime le mieux la musique, qui la cultive le plus habituellement et qui en fait ses plus chères délices : c’est sans contredit celui de l’Allemagne.
Pourroit-on s’étonner, Madame, de ne pas trouver derrière la scène, la décence, la considération de soi-même, les égards et les attentions réciproques que l’on cherche, et que l’on ne trouve pas toujours même dans ce qu’on nomme très-improprement la bonne société.