Le port des bras devant être aussi varié que les différentes passions que la Danse peut exprimer, les regles reçues deviennent presque inutiles ; il faudroit les enfreindre & s’en écarter à chaque instant, ou s’opposer en les suivant exactement aux mouvements de l’ame, qui ne peuvent se limiter par un nombre déterminé de gestes. […] Tant pis pour ce grand Violon, lui dirai-je, si son mérite ne se borne uniquement qu’à plaire au petit nombre.
Leurs jeux mimiques avaient quelque analogie avec notre danse grave ; et c’est une raison pour encourager le petit nombre des artistes qui se livreront à de pareils exercices.