Comment cette nation qui depuis tant de siècles a été admirée de toute l’Europe par les chefs-d’œuvre qu’elle a produits dans tous les genres, peut-elle renoncer à son nom, à son antique origine, et se vouer au triste et méprisable emploi de copiste ? […] Lorsque le gouvernement fera élever de vastes édifices et de grands monumens, il trouvera des artistes capables de les exécuter ; et en immortalisant leurs noms par des chefs-d’œuvre, ils contribueront encore à la gloire de la nation.
Ses talents placent son nom à côté de ceux des Michel-Ange, des Fiamingo, des Algardi, et de tous les autres artistes sublimes qu’a produit la glorieuse Italie.