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5. (1754) La danse ancienne et moderne ou Traité historique de la danse « Première partie — Livre second — Chapitre VI. De la Danse des Funérailles. »

Ils marchaient lentement et en mesure en chantant des vers à la louange du Roi mort. […] Les funérailles des particuliers, formées sur ce modèle, étaient à proportion de la dignité des morts et de la vanité des survivants.

6. (1769) Traité contre les danses [graphies originales] « Traité contre les danses. [Seconde partie.] — Chapitre X. Neuvième et dernière objection : Défendre les Danses, c’est peine perdue. » pp. 208-214

Ceux qui doivent parler sont coupables quand ils se taisent ; mais ils ne le sont pas lorsqu’ils parlent à des morts. […] Les maximes du monde sont des maximes meurtrières, parce qu’elles donnent la mort aux ames qui ont le malheur de les suivre, et qui, en les suivant, perdent la vie de la grâce, et se rendent dignes de la mort éternelle de l’enfer. […] Ce que le monde dit, tend à rendre ici-bas la vie plus agréable et plus commodé ; mais c’est pour la lui rendre éternellement malheureuse après la mort. […] Que deviennent à la mort les plaisirs dont on a joui pendant la vie ?

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