Le cœur plein d’amertume, les yeux noyés de larmes je me laissai une seconde fois emmener et je montai dans le train. […] Au premier arrêt un prêtre monta dans le wagon.
Lycomède, toujours occupé de sa passion ; n’a point renoncé à son imfâme projet ; l’absence momentanée d’Hercule et d’Admète lui en permet l’exécution : il engage la Reine qui a les yeux fixés sur son vaisseau, de vouloir y monter avec sa sœur et ses femmes, pour en examiner l’intérieur. […] A cette vue la fureur s’empare des assiégeans : on fait avancer les béliers et les tours mouvantes pour renverser les murailles ; on pose les échelles et l’on monte à l’assaut.