L’hypnotisme était à ce moment très en vogue à New-York. […] Je laissai couler la robe dans mes doigts et, devant ce petit tas d’étoffe, tout menu, je demeurai songeuse un long moment.
Je le fixai un bon moment, pour savoir s’il était fâché ou non. […] Et je lui sais, aujourd’hui encore, un gré infini d’avoir attendu si longtemps pour ne pas quitter le théâtre sans avoir vu, ne fût-ce qu’un moment, la Loïe Fuller et ses danses.