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138. (1909) Une vie de danseuse. Fanny Elssler « Chapitre VI. les débuts de fanny elssler à paris  » pp. 188-219

Après avoir cité la filandreuse tirade : « Il y avait à Vienne… », ce journal ajoute : « On a dit et on a répété qu’un jeune prince, né sur les marches du plus beau trône de l’Europe et qu’une maladie de consomption a ravi, il y a trois ans, à bien des sympathies, on a dit que ce prince, épris d’une passion violente pour Mlle Fanny Elssler, était mort en répétant le nom de la belle danseuse allemande… On a dit bien d’autres choses que je ne rappellerai pas.

139. (1921) Salvatore Viganò pp. 167-190

À la fin elle croit plus efficace de recourir à la déesse et la supplie de la délivrer de cet amour coupable… Tandis qu’elle descend les marches de l’autel sur lesquelles elle a prié, une vision lui représente les traits de Décius.

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