Comme nous avons pris dans les saintes Ecritures les premières preuves que nous avons alléguées pour montrer le mal ou le danger inséparable des danses ; c’est aussi dans les saintes Ecritures que plusieurs vont d’abord chercher de quoi affoiblir ce que nous avons dit à ce sujet. […] Quoi, au contraire, de plus capable de faire perdre Dieu de vue, que les danses dont le moindre mal est une très-grande dissipation d’esprit et de cœur, où elles jettent ? […] Mais, dit-on, en accordant qu’il n’y a dans les saintes Ecritures rien qui autorise absolument les danses, ne peut-on pas raisonnablement demander à ceux qui défendent avec tant de sévérité de chercher ce dangereux divertissement, pourquoi, si elles sont si dangereuses, Jésus-Christ et les Apôtres n’ont rien dit positivement d’un si grand péril et d’un si grand mal ?
E da ciò poi ne nasce che vi saranno di quelli i quali si crederanno saper ballare molte danze ed in verità non sapranno fare un sol passo; laddove se il tempo speso ad imprendere quelle danze imperfettamente l’avesser voluto impiegare alle regole di sopra dimostre, non solamente sarebbono stati abili a poter ballare assai più danze, e più regolata-mente di quelle che non sanno; ma eziandio non avrebbono male speso il loro tempo e non sarebbono certamente rimasi fuor d’ogni loro credenza ingannati.